Lundi 4 août, vers 22 h, plusieurs intrus pénètrent dans une maison de Pontpoint, guidés par la seule idée de s’emparer d’objets de valeur. Le face-à-face tourne à l’agression. Pour faire céder leurs victimes, les malfaiteurs frappent, à mains nues puis avec des armes, le propriétaire de 73 ans et son épouse de 74 ans, précise le parquet de Senlis dans un communiqué. Les deux retraités finissent avec plaies multiples et hématomes ; l’homme se voit prescrire soixante jours d’incapacité totale de travail et sa femme dix jours d'ITT. Les cris franchissent les murs, réveillent le voisinage, déclenchent un réflexe de solidarité. En quelques minutes, des riverains alertent les gendarmes et apportent un premier soutien au couple blessé. Très vite, les forces de l'ordre repèrent trois individus en fuite. Les suspects, connus pour des faits similaires, sont arrêtés dans la nuit. En garde à vue, ils reconnaissent une implication partielle, relate le procureur Loïc Abrial. Mercredi après-midi, le trio est présenté à un juge d’instruction ; l’information judiciaire s’ouvre sur les chefs de vol en bande organisée avec arme, violences ayant entraîné ITT et recel éventuel. Détention provisoire ordonnée Le juge des libertés ordonne le placement en détention provisoire. Cette mesure vise à prévenir la concertation entre mis en cause et à garantir la sécurité des victimes, explique le parquet. Le code pénal prévoit jusqu’à trente ans de réclusion pour un vol commis en bande organisée et aggravé par la présence d’une arme. La peine peut s’accompagner de confiscations et d’une interdiction future de port d’arme. Pour l'heure, l'enquête se pousuit.
Lundi 4 août, vers 22 h, plusieurs intrus pénètrent dans une maison de Pontpoint, guidés par la seule idée de s’emparer d’objets de valeur. Le face-à-face tourne à l’agression. Pour faire céder leurs victimes, les malfaiteurs frappent, à mains nues puis avec des armes, le propriétaire de 73 ans et son épouse de 74 ans, précise le parquet de Senlis dans un communiqué. Les deux retraités finissent avec plaies multiples et hématomes ; l’homme se voit prescrire soixante jours d’incapacité totale de travail et sa femme dix jours d'ITT. Les cris franchissent les murs, réveillent le voisinage, déclenchent un réflexe de solidarité. En quelques minutes, des riverains alertent les gendarmes et apportent un premier soutien au couple blessé. Très vite, les forces de l'ordre repèrent trois individus en fuite. Les suspects, connus pour des faits similaires, sont arrêtés dans la nuit. En garde à vue, ils reconnaissent une implication partielle, relate le procureur Loïc Abrial. Mercredi après-midi, le trio est présenté à un juge d’instruction ; l’information judiciaire s’ouvre sur les chefs de vol en bande organisée avec arme, violences ayant entraîné ITT et recel éventuel. Détention provisoire ordonnée Le juge des libertés ordonne le placement en détention provisoire. Cette mesure vise à prévenir la concertation entre mis en cause et à garantir la sécurité des victimes, explique le parquet. Le code pénal prévoit jusqu’à trente ans de réclusion pour un vol commis en bande organisée et aggravé par la présence d’une arme. La peine peut s’accompagner de confiscations et d’une interdiction future de port d’arme. Pour l'heure, l'enquête se pousuit.
Lundi 4 août, vers 22 h, plusieurs intrus pénètrent dans une maison de Pontpoint, guidés par la seule idée de s’emparer d’objets de valeur. Le face-à-face tourne à l’agression. Pour faire céder leurs victimes, les malfaiteurs frappent, à mains nues puis avec des armes, le propriétaire de 73 ans et son épouse de 74 ans, précise le parquet de Senlis dans un communiqué. Les deux retraités finissent avec plaies multiples et hématomes ; l’homme se voit prescrire soixante jours d’incapacité totale de travail et sa femme dix jours d'ITT. Les cris franchissent les murs, réveillent le voisinage, déclenchent un réflexe de solidarité. En quelques minutes, des riverains alertent les gendarmes et apportent un premier soutien au couple blessé. Très vite, les forces de l'ordre repèrent trois individus en fuite. Les suspects, connus pour des faits similaires, sont arrêtés dans la nuit. En garde à vue, ils reconnaissent une implication partielle, relate le procureur Loïc Abrial. Mercredi après-midi, le trio est présenté à un juge d’instruction ; l’information judiciaire s’ouvre sur les chefs de vol en bande organisée avec arme, violences ayant entraîné ITT et recel éventuel. Détention provisoire ordonnée Le juge des libertés ordonne le placement en détention provisoire. Cette mesure vise à prévenir la concertation entre mis en cause et à garantir la sécurité des victimes, explique le parquet. Le code pénal prévoit jusqu’à trente ans de réclusion pour un vol commis en bande organisée et aggravé par la présence d’une arme. La peine peut s’accompagner de confiscations et d’une interdiction future de port d’arme. Pour l'heure, l'enquête se pousuit.