Dans un communiqué publié mercredi, la CGT-Cheminots, l’Unsa-Ferroviaire et la CFDT-Cheminots ont exhorté les cheminots à cesser le travail le 18 septembre et à rejoindre les manifestations organisées ce jour-là. Ces trois organisations, qui cumulent environ 70 % des suffrages aux dernières élections professionnelles, affirment vouloir peser collectivement dans un contexte social qu’elles jugent préoccupant. Leur décision a été prise à l’issue d’une rencontre intersyndicale consacrée aux annonces budgétaires de l’exécutif. Un budget jugé « violent » par les syndicats Au cœur des critiques figure le projet de budget 2026, qui prévoit notamment la suppression de deux jours fériés. Pour Fabrice Charrière, secrétaire général de l’Unsa-Ferroviaire, cela reviendrait à « travailler gratuitement » sans réel choix pour les salariés. Thierry Nier, à la tête de la CGT-Cheminots, a pour sa part dénoncé « un budget très violent, qui touche l’ensemble des salariés du pays ». Thomas Cavel, secrétaire général de la CFDT-Cheminots, insiste sur la nécessité « de donner un avenir au ferroviaire », estimant que la politique actuelle menace l’emploi et la pérennité du secteur. Si l’intersyndicale du 18 septembre regroupe trois organisations représentatives, Sud-Rail a décidé de suivre une voie distincte. Le syndicat a fixé sa propre journée de mobilisation au 10 septembre, conformément à un appel lancé fin août. Le mouvement ne se limite pas à la SNCF. En Île-de-France, la CGT, FO, Unsa Mobilité et la CFE-CGC de la RATP ont également appelé à une grève et à des manifestations le 18 septembre. Le même jour, les principales centrales syndicales nationales (CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, Unsa, FSU et Solidaires) ont prévu une mobilisation interprofessionnelle couvrant l’ensemble du territoire. Le secteur aérien n’est pas en reste, puisque le Syndicat national des contrôleurs du trafic aérien (SNCTA), majoritaire dans sa branche, a lui aussi confirmé sa participation à cette journée d’action. Une mobilisation appelée à s’élargir Les syndicats ferroviaires ont déjà annoncé une nouvelle rencontre avant le 18 septembre afin de coordonner leurs actions et d’élargir la mobilisation. Leur objectif est de renforcer la dynamique enclenchée à la rentrée sociale et de porter un message unifié face aux mesures d’économies annoncées.
Dans un communiqué publié mercredi, la CGT-Cheminots, l’Unsa-Ferroviaire et la CFDT-Cheminots ont exhorté les cheminots à cesser le travail le 18 septembre et à rejoindre les manifestations organisées ce jour-là. Ces trois organisations, qui cumulent environ 70 % des suffrages aux dernières élections professionnelles, affirment vouloir peser collectivement dans un contexte social qu’elles jugent préoccupant. Leur décision a été prise à l’issue d’une rencontre intersyndicale consacrée aux annonces budgétaires de l’exécutif. Un budget jugé « violent » par les syndicats Au cœur des critiques figure le projet de budget 2026, qui prévoit notamment la suppression de deux jours fériés. Pour Fabrice Charrière, secrétaire général de l’Unsa-Ferroviaire, cela reviendrait à « travailler gratuitement » sans réel choix pour les salariés. Thierry Nier, à la tête de la CGT-Cheminots, a pour sa part dénoncé « un budget très violent, qui touche l’ensemble des salariés du pays ». Thomas Cavel, secrétaire général de la CFDT-Cheminots, insiste sur la nécessité « de donner un avenir au ferroviaire », estimant que la politique actuelle menace l’emploi et la pérennité du secteur. Si l’intersyndicale du 18 septembre regroupe trois organisations représentatives, Sud-Rail a décidé de suivre une voie distincte. Le syndicat a fixé sa propre journée de mobilisation au 10 septembre, conformément à un appel lancé fin août. Le mouvement ne se limite pas à la SNCF. En Île-de-France, la CGT, FO, Unsa Mobilité et la CFE-CGC de la RATP ont également appelé à une grève et à des manifestations le 18 septembre. Le même jour, les principales centrales syndicales nationales (CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, Unsa, FSU et Solidaires) ont prévu une mobilisation interprofessionnelle couvrant l’ensemble du territoire. Le secteur aérien n’est pas en reste, puisque le Syndicat national des contrôleurs du trafic aérien (SNCTA), majoritaire dans sa branche, a lui aussi confirmé sa participation à cette journée d’action. Une mobilisation appelée à s’élargir Les syndicats ferroviaires ont déjà annoncé une nouvelle rencontre avant le 18 septembre afin de coordonner leurs actions et d’élargir la mobilisation. Leur objectif est de renforcer la dynamique enclenchée à la rentrée sociale et de porter un message unifié face aux mesures d’économies annoncées.
Dans un communiqué publié mercredi, la CGT-Cheminots, l’Unsa-Ferroviaire et la CFDT-Cheminots ont exhorté les cheminots à cesser le travail le 18 septembre et à rejoindre les manifestations organisées ce jour-là. Ces trois organisations, qui cumulent environ 70 % des suffrages aux dernières élections professionnelles, affirment vouloir peser collectivement dans un contexte social qu’elles jugent préoccupant. Leur décision a été prise à l’issue d’une rencontre intersyndicale consacrée aux annonces budgétaires de l’exécutif. Un budget jugé « violent » par les syndicats Au cœur des critiques figure le projet de budget 2026, qui prévoit notamment la suppression de deux jours fériés. Pour Fabrice Charrière, secrétaire général de l’Unsa-Ferroviaire, cela reviendrait à « travailler gratuitement » sans réel choix pour les salariés. Thierry Nier, à la tête de la CGT-Cheminots, a pour sa part dénoncé « un budget très violent, qui touche l’ensemble des salariés du pays ». Thomas Cavel, secrétaire général de la CFDT-Cheminots, insiste sur la nécessité « de donner un avenir au ferroviaire », estimant que la politique actuelle menace l’emploi et la pérennité du secteur. Si l’intersyndicale du 18 septembre regroupe trois organisations représentatives, Sud-Rail a décidé de suivre une voie distincte. Le syndicat a fixé sa propre journée de mobilisation au 10 septembre, conformément à un appel lancé fin août. Le mouvement ne se limite pas à la SNCF. En Île-de-France, la CGT, FO, Unsa Mobilité et la CFE-CGC de la RATP ont également appelé à une grève et à des manifestations le 18 septembre. Le même jour, les principales centrales syndicales nationales (CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, Unsa, FSU et Solidaires) ont prévu une mobilisation interprofessionnelle couvrant l’ensemble du territoire. Le secteur aérien n’est pas en reste, puisque le Syndicat national des contrôleurs du trafic aérien (SNCTA), majoritaire dans sa branche, a lui aussi confirmé sa participation à cette journée d’action. Une mobilisation appelée à s’élargir Les syndicats ferroviaires ont déjà annoncé une nouvelle rencontre avant le 18 septembre afin de coordonner leurs actions et d’élargir la mobilisation. Leur objectif est de renforcer la dynamique enclenchée à la rentrée sociale et de porter un message unifié face aux mesures d’économies annoncées.