La vidéo, d’une durée d’environ quarante secondes, a été publiée jeudi soir par Aly Diouara, député de La France insoumise. Selon lui, les images auraient été tournées le 28 août dans le centre de Saint-Denis. On y distingue un jeune homme appuyé contre une grille, immobile, qui reçoit d’abord une gifle puis un crachat d’un policier en uniforme. Deux autres agents visibles sur la scène restent en retrait, sans intervenir. Le député Aly Diouara a signalé l’affaire au procureur de la République au titre de l’article 40 du Code de procédure pénale, et il a affirmé vouloir rencontrer le jeune homme filmé afin de le rassurer. Son collègue Eric Coquerel, également élu de Seine-Saint-Denis et étiqueté LFI, a réagi en qualifiant les images de « choquantes » et a estimé que les gestes montrés ne correspondaient pas à ce que l’on attend d’une intervention policière. Il a appelé à une réaction des autorités, notamment du préfet de Seine-Saint-Denis et du préfet de police de Paris, Laurent Nuñez. L’IGPN saisie par le parquet de Bobigny Le parquet de Bobigny a indiqué ce vendredi qu’une enquête était ouverte pour « violences par personne dépositaire de l’autorité publique ». L’identification du fonctionnaire et de la patrouille concernés est en cours, mais ni le lieu exact ni la date précise des faits n’ont été officiellement confirmés. L’enquête a été confiée à l’Inspection générale de la police nationale. Une seconde enquête administrative distincte a été déclenchée par la préfecture de police de Paris.
La vidéo, d’une durée d’environ quarante secondes, a été publiée jeudi soir par Aly Diouara, député de La France insoumise. Selon lui, les images auraient été tournées le 28 août dans le centre de Saint-Denis. On y distingue un jeune homme appuyé contre une grille, immobile, qui reçoit d’abord une gifle puis un crachat d’un policier en uniforme. Deux autres agents visibles sur la scène restent en retrait, sans intervenir. Le député Aly Diouara a signalé l’affaire au procureur de la République au titre de l’article 40 du Code de procédure pénale, et il a affirmé vouloir rencontrer le jeune homme filmé afin de le rassurer. Son collègue Eric Coquerel, également élu de Seine-Saint-Denis et étiqueté LFI, a réagi en qualifiant les images de « choquantes » et a estimé que les gestes montrés ne correspondaient pas à ce que l’on attend d’une intervention policière. Il a appelé à une réaction des autorités, notamment du préfet de Seine-Saint-Denis et du préfet de police de Paris, Laurent Nuñez. L’IGPN saisie par le parquet de Bobigny Le parquet de Bobigny a indiqué ce vendredi qu’une enquête était ouverte pour « violences par personne dépositaire de l’autorité publique ». L’identification du fonctionnaire et de la patrouille concernés est en cours, mais ni le lieu exact ni la date précise des faits n’ont été officiellement confirmés. L’enquête a été confiée à l’Inspection générale de la police nationale. Une seconde enquête administrative distincte a été déclenchée par la préfecture de police de Paris.
La vidéo, d’une durée d’environ quarante secondes, a été publiée jeudi soir par Aly Diouara, député de La France insoumise. Selon lui, les images auraient été tournées le 28 août dans le centre de Saint-Denis. On y distingue un jeune homme appuyé contre une grille, immobile, qui reçoit d’abord une gifle puis un crachat d’un policier en uniforme. Deux autres agents visibles sur la scène restent en retrait, sans intervenir. Le député Aly Diouara a signalé l’affaire au procureur de la République au titre de l’article 40 du Code de procédure pénale, et il a affirmé vouloir rencontrer le jeune homme filmé afin de le rassurer. Son collègue Eric Coquerel, également élu de Seine-Saint-Denis et étiqueté LFI, a réagi en qualifiant les images de « choquantes » et a estimé que les gestes montrés ne correspondaient pas à ce que l’on attend d’une intervention policière. Il a appelé à une réaction des autorités, notamment du préfet de Seine-Saint-Denis et du préfet de police de Paris, Laurent Nuñez. L’IGPN saisie par le parquet de Bobigny Le parquet de Bobigny a indiqué ce vendredi qu’une enquête était ouverte pour « violences par personne dépositaire de l’autorité publique ». L’identification du fonctionnaire et de la patrouille concernés est en cours, mais ni le lieu exact ni la date précise des faits n’ont été officiellement confirmés. L’enquête a été confiée à l’Inspection générale de la police nationale. Une seconde enquête administrative distincte a été déclenchée par la préfecture de police de Paris.