Au fil de plus de soixante films, Terence Stamp s’était imposé comme une référence. Dès ses débuts, il avait été remarqué grâce à Billy Budd de Peter Ustinov, rôle qui lui valut un Golden Globe en 1963. Deux ans plus tard, il recevait le Prix d’interprétation masculine au Festival de Cannes pour L’Obsédé, réalisé par William Wyler. Le grand public se souvient surtout de lui en antagoniste, dans le costume du Général Zod dans Superman II en 1980, rôle qui l’a propulsé au rang d’icône pour plusieurs générations. Quelques années plus tard, il surprenait encore en interprétant un personnage fragile et bouleversant dans Priscilla, folle du désert, film devenu culte. Stamp avait travaillé avec certains des cinéastes les plus influents de son époque. Ken Loach, Pier Paolo Pasolini, Oliver Stone ou encore George Lucas avaient fait appel à son talent. Un retrait temporaire avant le rôle culte de Zod À la fin des années 1960, Terence Stamp avait pris du recul avec le cinéma. Il s’était tourné vers l’Inde pour approfondir sa pratique du yoga et découvrir d’autres horizons. Ce retrait fut de courte durée, puisque son retour marqua l’un des tournants de sa carrière : en 1980, il devenait le Général Zod, un rôle qui l’a inscrit dans l’histoire de la culture populaire mondiale. Dans un communiqué, sa famille a salué « une œuvre extraordinaire, tant en tant qu’acteur qu’en tant qu’écrivain, qui continuera à toucher et à inspirer les gens pendant de nombreuses années ». Déchiffreur
Au fil de plus de soixante films, Terence Stamp s’était imposé comme une référence. Dès ses débuts, il avait été remarqué grâce à Billy Budd de Peter Ustinov, rôle qui lui valut un Golden Globe en 1963. Deux ans plus tard, il recevait le Prix d’interprétation masculine au Festival de Cannes pour L’Obsédé, réalisé par William Wyler. Le grand public se souvient surtout de lui en antagoniste, dans le costume du Général Zod dans Superman II en 1980, rôle qui l’a propulsé au rang d’icône pour plusieurs générations. Quelques années plus tard, il surprenait encore en interprétant un personnage fragile et bouleversant dans Priscilla, folle du désert, film devenu culte. Stamp avait travaillé avec certains des cinéastes les plus influents de son époque. Ken Loach, Pier Paolo Pasolini, Oliver Stone ou encore George Lucas avaient fait appel à son talent. Un retrait temporaire avant le rôle culte de Zod À la fin des années 1960, Terence Stamp avait pris du recul avec le cinéma. Il s’était tourné vers l’Inde pour approfondir sa pratique du yoga et découvrir d’autres horizons. Ce retrait fut de courte durée, puisque son retour marqua l’un des tournants de sa carrière : en 1980, il devenait le Général Zod, un rôle qui l’a inscrit dans l’histoire de la culture populaire mondiale. Dans un communiqué, sa famille a salué « une œuvre extraordinaire, tant en tant qu’acteur qu’en tant qu’écrivain, qui continuera à toucher et à inspirer les gens pendant de nombreuses années ». Déchiffreur
Au fil de plus de soixante films, Terence Stamp s’était imposé comme une référence. Dès ses débuts, il avait été remarqué grâce à Billy Budd de Peter Ustinov, rôle qui lui valut un Golden Globe en 1963. Deux ans plus tard, il recevait le Prix d’interprétation masculine au Festival de Cannes pour L’Obsédé, réalisé par William Wyler. Le grand public se souvient surtout de lui en antagoniste, dans le costume du Général Zod dans Superman II en 1980, rôle qui l’a propulsé au rang d’icône pour plusieurs générations. Quelques années plus tard, il surprenait encore en interprétant un personnage fragile et bouleversant dans Priscilla, folle du désert, film devenu culte. Stamp avait travaillé avec certains des cinéastes les plus influents de son époque. Ken Loach, Pier Paolo Pasolini, Oliver Stone ou encore George Lucas avaient fait appel à son talent. Un retrait temporaire avant le rôle culte de Zod À la fin des années 1960, Terence Stamp avait pris du recul avec le cinéma. Il s’était tourné vers l’Inde pour approfondir sa pratique du yoga et découvrir d’autres horizons. Ce retrait fut de courte durée, puisque son retour marqua l’un des tournants de sa carrière : en 1980, il devenait le Général Zod, un rôle qui l’a inscrit dans l’histoire de la culture populaire mondiale. Dans un communiqué, sa famille a salué « une œuvre extraordinaire, tant en tant qu’acteur qu’en tant qu’écrivain, qui continuera à toucher et à inspirer les gens pendant de nombreuses années ». Déchiffreur