L’armée israélienne a déclaré que plus de 250 000 habitants avaient quitté Gaza-ville au cours des dernières semaines pour se mettre à l’abri. Avichay Adraee, porte-parole arabophone de l’armée, a précisé sur X que « selon les estimations de l’armée, plus d’un quart du million d’habitants de la ville de Gaza l’ont quittée pour leur propre sécurité ». Selon les dernières estimations de l’ONU, environ un million de Palestiniens vivent dans et autour de Gaza-ville, la plus grande agglomération du territoire. En raison des restrictions sur l’accès aux médias et des difficultés de circulation, les informations n’ont pas pu être vérifiées de manière indépendante. Intensification des frappes israéliennes L’armée de l’air israélienne a distribué samedi des tracts dans les quartiers ouest de Gaza, exhortant les habitants à évacuer vers le sud par la rue al-Rachid. « L’armée agit avec force dans votre secteur et est déterminée à démanteler et à vaincre le Hamas. Pour votre sécurité, évacuez immédiatement », pouvait-on lire dans ces messages. La Défense civile palestinienne a signalé cinq nouvelles victimes depuis l’aube, après avoir annoncé la veille la mort d’au moins 50 personnes dans l’ensemble de la ville. Plusieurs tours d’habitation ont été détruites ces derniers jours, tandis que l’armée israélienne affirme vouloir « nuire aux infrastructures du Hamas et réduire la menace pour ses troupes ». Conséquences humanitaires et sécurité des civils De nombreux acteurs humanitaires estiment que l’évacuation massive du nord vers le sud est difficile et dangereuse. Le territoire, déjà densément peuplé et assiégé depuis plusieurs mois, subit des pertes humaines et des destructions qui aggravent un désastre humanitaire majeur. L’ONU a déclaré la famine à Gaza, une affirmation démentie par Israël. Selon le ministère de la Santé de Gaza, sous l’autorité du Hamas, 64 756 Palestiniens ont été tués depuis le début du conflit, tandis que les infrastructures essentielles restent gravement endommagées.
L’armée israélienne a déclaré que plus de 250 000 habitants avaient quitté Gaza-ville au cours des dernières semaines pour se mettre à l’abri. Avichay Adraee, porte-parole arabophone de l’armée, a précisé sur X que « selon les estimations de l’armée, plus d’un quart du million d’habitants de la ville de Gaza l’ont quittée pour leur propre sécurité ». Selon les dernières estimations de l’ONU, environ un million de Palestiniens vivent dans et autour de Gaza-ville, la plus grande agglomération du territoire. En raison des restrictions sur l’accès aux médias et des difficultés de circulation, les informations n’ont pas pu être vérifiées de manière indépendante. Intensification des frappes israéliennes L’armée de l’air israélienne a distribué samedi des tracts dans les quartiers ouest de Gaza, exhortant les habitants à évacuer vers le sud par la rue al-Rachid. « L’armée agit avec force dans votre secteur et est déterminée à démanteler et à vaincre le Hamas. Pour votre sécurité, évacuez immédiatement », pouvait-on lire dans ces messages. La Défense civile palestinienne a signalé cinq nouvelles victimes depuis l’aube, après avoir annoncé la veille la mort d’au moins 50 personnes dans l’ensemble de la ville. Plusieurs tours d’habitation ont été détruites ces derniers jours, tandis que l’armée israélienne affirme vouloir « nuire aux infrastructures du Hamas et réduire la menace pour ses troupes ». Conséquences humanitaires et sécurité des civils De nombreux acteurs humanitaires estiment que l’évacuation massive du nord vers le sud est difficile et dangereuse. Le territoire, déjà densément peuplé et assiégé depuis plusieurs mois, subit des pertes humaines et des destructions qui aggravent un désastre humanitaire majeur. L’ONU a déclaré la famine à Gaza, une affirmation démentie par Israël. Selon le ministère de la Santé de Gaza, sous l’autorité du Hamas, 64 756 Palestiniens ont été tués depuis le début du conflit, tandis que les infrastructures essentielles restent gravement endommagées.
L’armée israélienne a déclaré que plus de 250 000 habitants avaient quitté Gaza-ville au cours des dernières semaines pour se mettre à l’abri. Avichay Adraee, porte-parole arabophone de l’armée, a précisé sur X que « selon les estimations de l’armée, plus d’un quart du million d’habitants de la ville de Gaza l’ont quittée pour leur propre sécurité ». Selon les dernières estimations de l’ONU, environ un million de Palestiniens vivent dans et autour de Gaza-ville, la plus grande agglomération du territoire. En raison des restrictions sur l’accès aux médias et des difficultés de circulation, les informations n’ont pas pu être vérifiées de manière indépendante. Intensification des frappes israéliennes L’armée de l’air israélienne a distribué samedi des tracts dans les quartiers ouest de Gaza, exhortant les habitants à évacuer vers le sud par la rue al-Rachid. « L’armée agit avec force dans votre secteur et est déterminée à démanteler et à vaincre le Hamas. Pour votre sécurité, évacuez immédiatement », pouvait-on lire dans ces messages. La Défense civile palestinienne a signalé cinq nouvelles victimes depuis l’aube, après avoir annoncé la veille la mort d’au moins 50 personnes dans l’ensemble de la ville. Plusieurs tours d’habitation ont été détruites ces derniers jours, tandis que l’armée israélienne affirme vouloir « nuire aux infrastructures du Hamas et réduire la menace pour ses troupes ». Conséquences humanitaires et sécurité des civils De nombreux acteurs humanitaires estiment que l’évacuation massive du nord vers le sud est difficile et dangereuse. Le territoire, déjà densément peuplé et assiégé depuis plusieurs mois, subit des pertes humaines et des destructions qui aggravent un désastre humanitaire majeur. L’ONU a déclaré la famine à Gaza, une affirmation démentie par Israël. Selon le ministère de la Santé de Gaza, sous l’autorité du Hamas, 64 756 Palestiniens ont été tués depuis le début du conflit, tandis que les infrastructures essentielles restent gravement endommagées.