Les faits remontent au 31 juillet. Ce jour-là, une femme de 40 ans s’est rendue à un rendez-vous de médecine du travail à Creil (Oise), dans le cadre de son activité professionnelle. Quelques jours plus tard, elle s’est présentée au commissariat pour porter plainte contre le médecin qui l’avait examinée. Selon sa déposition, le praticien lui aurait touché la poitrine, puis aurait introduit ses doigts dans son vagin, avant de tenter de faire de même dans son anus, comme le précise le procureur de la République de Senlis, Loïc Abrial, confirmant une information du Parisien. Face à ces accusations, une enquête a été ouverte par le parquet, qui a procédé à l’interpellation du médecin le mardi 5 août. Âgé de 71 ans, ce dernier exerçait dans le domaine de la médecine du travail depuis plus de quarante ans. Il a été placé en garde à vue pour être entendu sur les faits qui lui sont reprochés. Une précédente affaire relancée par la justice L’instruction a permis de faire resurgir une autre plainte, déposée en 2013 par une patiente de 42 ans. Celle-ci rapportait des faits similaires survenus lors d’un examen réalisé fin 2011, toujours dans un contexte professionnel. Elle déclarait que le même médecin lui avait introduit des doigts dans le vagin au cours de la consultation. La procédure de l’époque avait été classée sans suite en 2015 au motif que les éléments constitutifs de l’infraction n’étaient pas suffisamment caractérisés. Toutefois, en raison de la nouvelle plainte déposée en juillet, le parquet a décidé de rouvrir cette affaire pour l’examiner à nouveau à la lumière des éléments actuels. Le praticien conteste l'ensemble des faits Durant sa garde à vue, le praticien a fermement contesté l’ensemble des faits. Il a affirmé n’avoir commis aucune infraction à l’encontre des deux femmes, ni pendant les consultations ni en dehors de son cadre professionnel. Il a été présenté à un juge d’instruction à l’issue de sa garde à vue, puis mis en examen pour viol et agression sexuelle. Le juge a décidé de son placement en détention provisoire dans l’attente des investigations complémentaires. Il est présumé innocent. D.B. avec Déchiffreur
Les faits remontent au 31 juillet. Ce jour-là, une femme de 40 ans s’est rendue à un rendez-vous de médecine du travail à Creil (Oise), dans le cadre de son activité professionnelle. Quelques jours plus tard, elle s’est présentée au commissariat pour porter plainte contre le médecin qui l’avait examinée. Selon sa déposition, le praticien lui aurait touché la poitrine, puis aurait introduit ses doigts dans son vagin, avant de tenter de faire de même dans son anus, comme le précise le procureur de la République de Senlis, Loïc Abrial, confirmant une information du Parisien. Face à ces accusations, une enquête a été ouverte par le parquet, qui a procédé à l’interpellation du médecin le mardi 5 août. Âgé de 71 ans, ce dernier exerçait dans le domaine de la médecine du travail depuis plus de quarante ans. Il a été placé en garde à vue pour être entendu sur les faits qui lui sont reprochés. Une précédente affaire relancée par la justice L’instruction a permis de faire resurgir une autre plainte, déposée en 2013 par une patiente de 42 ans. Celle-ci rapportait des faits similaires survenus lors d’un examen réalisé fin 2011, toujours dans un contexte professionnel. Elle déclarait que le même médecin lui avait introduit des doigts dans le vagin au cours de la consultation. La procédure de l’époque avait été classée sans suite en 2015 au motif que les éléments constitutifs de l’infraction n’étaient pas suffisamment caractérisés. Toutefois, en raison de la nouvelle plainte déposée en juillet, le parquet a décidé de rouvrir cette affaire pour l’examiner à nouveau à la lumière des éléments actuels. Le praticien conteste l'ensemble des faits Durant sa garde à vue, le praticien a fermement contesté l’ensemble des faits. Il a affirmé n’avoir commis aucune infraction à l’encontre des deux femmes, ni pendant les consultations ni en dehors de son cadre professionnel. Il a été présenté à un juge d’instruction à l’issue de sa garde à vue, puis mis en examen pour viol et agression sexuelle. Le juge a décidé de son placement en détention provisoire dans l’attente des investigations complémentaires. Il est présumé innocent. D.B. avec Déchiffreur
Les faits remontent au 31 juillet. Ce jour-là, une femme de 40 ans s’est rendue à un rendez-vous de médecine du travail à Creil (Oise), dans le cadre de son activité professionnelle. Quelques jours plus tard, elle s’est présentée au commissariat pour porter plainte contre le médecin qui l’avait examinée. Selon sa déposition, le praticien lui aurait touché la poitrine, puis aurait introduit ses doigts dans son vagin, avant de tenter de faire de même dans son anus, comme le précise le procureur de la République de Senlis, Loïc Abrial, confirmant une information du Parisien. Face à ces accusations, une enquête a été ouverte par le parquet, qui a procédé à l’interpellation du médecin le mardi 5 août. Âgé de 71 ans, ce dernier exerçait dans le domaine de la médecine du travail depuis plus de quarante ans. Il a été placé en garde à vue pour être entendu sur les faits qui lui sont reprochés. Une précédente affaire relancée par la justice L’instruction a permis de faire resurgir une autre plainte, déposée en 2013 par une patiente de 42 ans. Celle-ci rapportait des faits similaires survenus lors d’un examen réalisé fin 2011, toujours dans un contexte professionnel. Elle déclarait que le même médecin lui avait introduit des doigts dans le vagin au cours de la consultation. La procédure de l’époque avait été classée sans suite en 2015 au motif que les éléments constitutifs de l’infraction n’étaient pas suffisamment caractérisés. Toutefois, en raison de la nouvelle plainte déposée en juillet, le parquet a décidé de rouvrir cette affaire pour l’examiner à nouveau à la lumière des éléments actuels. Le praticien conteste l'ensemble des faits Durant sa garde à vue, le praticien a fermement contesté l’ensemble des faits. Il a affirmé n’avoir commis aucune infraction à l’encontre des deux femmes, ni pendant les consultations ni en dehors de son cadre professionnel. Il a été présenté à un juge d’instruction à l’issue de sa garde à vue, puis mis en examen pour viol et agression sexuelle. Le juge a décidé de son placement en détention provisoire dans l’attente des investigations complémentaires. Il est présumé innocent. D.B. avec Déchiffreur