Dimanche 19 octobre 2025 au matin, Rachida Dati, ministre de la Culture, a publié sur X (ex-Twitter), qu'« un braquage a eu lieu ce matin à l’ouverture du Musee [du] Louvre. Pas de blessés à déplorer. Je suis sur place aux côtés des équipes du musée et de la police ». Dans la foulée, plusieurs internautes et médias ont repris le terme « braquage », laissant entendre une attaque violente survenue en pleine journée au musée parisien. Or, selon les premières informations, plusieurs individus ont pénétré par effraction dans une partie du musée encore fermée au public, probablement par une fenêtre fracturée côté Seine à l’aide d’un monte-charge lié à des travaux. Les malfaiteurs auraient dérobé des bijoux d’une « valeur patrimoniale inestimable », conservés dans la Galerie d’Apollon. En effet, trois individus auraient réussi à s’emparer de neuf pièces issues de la prestigieuse collection de bijoux ayant appartenu à Napoléon et à l’impératrice Eugénie. L’un des joyaux volés, la couronne de l’impératrice, a été retrouvé à proximité du musée, abandonné par les voleurs lors de leur fuite, a annoncé Rachida Dati sur TF1. D’après une source proche de l’enquête citée par l’AFP, la pièce a été endommagée. Cette couronne, emblématique de l’époque impériale, est composée de 1 354 diamants et de 56 émeraudes, selon la description publiée par le musée du Louvre. Pourquoi c’est un « cambriolage » et non un « braquage » ? L'ntrusion par effraction, l'absence de violence et le vol coordonné à plusieurs, correspondent à la définition d’un cambriolage en bande organisée, et non à celle d’un braquage. Les enquêteurs n’ont relevé aucune menace avec armes, aucun face-à-face violent avec du personnel, et le musée était fermé au public lors de l’intrusion. Le Parquet de Paris a ouvert une enquête pour « vol en bande organisée et association de malfaiteurs en vue de commettre un crime ». Elle a été confiée à la brigade de répression du banditisme (BRB) de la police judiciaire de Paris, avec le soutien de l’Office central de lutte contre le trafic des biens culturels (OCBC), a précisé le parquet, auprès du Monde, précisant que le préjudice était « en cours d’évaluation » et que « les investigations sont en cours ». Par ailleurs, plusieurs médias, dont TF1 Info, BFM et Le Parisien, ont rectifié le tir en titrant sur un « cambriolage » plutôt qu’un « braquage ».
Dimanche 19 octobre 2025 au matin, Rachida Dati, ministre de la Culture, a publié sur X (ex-Twitter), qu'« un braquage a eu lieu ce matin à l’ouverture du Musee [du] Louvre. Pas de blessés à déplorer. Je suis sur place aux côtés des équipes du musée et de la police ». Dans la foulée, plusieurs internautes et médias ont repris le terme « braquage », laissant entendre une attaque violente survenue en pleine journée au musée parisien. Or, selon les premières informations, plusieurs individus ont pénétré par effraction dans une partie du musée encore fermée au public, probablement par une fenêtre fracturée côté Seine à l’aide d’un monte-charge lié à des travaux. Les malfaiteurs auraient dérobé des bijoux d’une « valeur patrimoniale inestimable », conservés dans la Galerie d’Apollon. En effet, trois individus auraient réussi à s’emparer de neuf pièces issues de la prestigieuse collection de bijoux ayant appartenu à Napoléon et à l’impératrice Eugénie. L’un des joyaux volés, la couronne de l’impératrice, a été retrouvé à proximité du musée, abandonné par les voleurs lors de leur fuite, a annoncé Rachida Dati sur TF1. D’après une source proche de l’enquête citée par l’AFP, la pièce a été endommagée. Cette couronne, emblématique de l’époque impériale, est composée de 1 354 diamants et de 56 émeraudes, selon la description publiée par le musée du Louvre. Pourquoi c’est un « cambriolage » et non un « braquage » ? L'ntrusion par effraction, l'absence de violence et le vol coordonné à plusieurs, correspondent à la définition d’un cambriolage en bande organisée, et non à celle d’un braquage. Les enquêteurs n’ont relevé aucune menace avec armes, aucun face-à-face violent avec du personnel, et le musée était fermé au public lors de l’intrusion. Le Parquet de Paris a ouvert une enquête pour « vol en bande organisée et association de malfaiteurs en vue de commettre un crime ». Elle a été confiée à la brigade de répression du banditisme (BRB) de la police judiciaire de Paris, avec le soutien de l’Office central de lutte contre le trafic des biens culturels (OCBC), a précisé le parquet, auprès du Monde, précisant que le préjudice était « en cours d’évaluation » et que « les investigations sont en cours ». Par ailleurs, plusieurs médias, dont TF1 Info, BFM et Le Parisien, ont rectifié le tir en titrant sur un « cambriolage » plutôt qu’un « braquage ».
Dimanche 19 octobre 2025 au matin, Rachida Dati, ministre de la Culture, a publié sur X (ex-Twitter), qu'« un braquage a eu lieu ce matin à l’ouverture du Musee [du] Louvre. Pas de blessés à déplorer. Je suis sur place aux côtés des équipes du musée et de la police ». Dans la foulée, plusieurs internautes et médias ont repris le terme « braquage », laissant entendre une attaque violente survenue en pleine journée au musée parisien. Or, selon les premières informations, plusieurs individus ont pénétré par effraction dans une partie du musée encore fermée au public, probablement par une fenêtre fracturée côté Seine à l’aide d’un monte-charge lié à des travaux. Les malfaiteurs auraient dérobé des bijoux d’une « valeur patrimoniale inestimable », conservés dans la Galerie d’Apollon. En effet, trois individus auraient réussi à s’emparer de neuf pièces issues de la prestigieuse collection de bijoux ayant appartenu à Napoléon et à l’impératrice Eugénie. L’un des joyaux volés, la couronne de l’impératrice, a été retrouvé à proximité du musée, abandonné par les voleurs lors de leur fuite, a annoncé Rachida Dati sur TF1. D’après une source proche de l’enquête citée par l’AFP, la pièce a été endommagée. Cette couronne, emblématique de l’époque impériale, est composée de 1 354 diamants et de 56 émeraudes, selon la description publiée par le musée du Louvre. Pourquoi c’est un « cambriolage » et non un « braquage » ? L'ntrusion par effraction, l'absence de violence et le vol coordonné à plusieurs, correspondent à la définition d’un cambriolage en bande organisée, et non à celle d’un braquage. Les enquêteurs n’ont relevé aucune menace avec armes, aucun face-à-face violent avec du personnel, et le musée était fermé au public lors de l’intrusion. Le Parquet de Paris a ouvert une enquête pour « vol en bande organisée et association de malfaiteurs en vue de commettre un crime ». Elle a été confiée à la brigade de répression du banditisme (BRB) de la police judiciaire de Paris, avec le soutien de l’Office central de lutte contre le trafic des biens culturels (OCBC), a précisé le parquet, auprès du Monde, précisant que le préjudice était « en cours d’évaluation » et que « les investigations sont en cours ». Par ailleurs, plusieurs médias, dont TF1 Info, BFM et Le Parisien, ont rectifié le tir en titrant sur un « cambriolage » plutôt qu’un « braquage ».