Vendredi soir, Jérémy Gisclon, connu sous le nom de Jeremstar, a interrompu une corrida aux arènes de Nîmes en pénétrant dans l’arène avec un tissu portant l’inscription « F*CK la CORRIDA ». Deux autres militants, vêtus de tee-shirts barrés du mot « corrida » en rouge, ont parcouru le couloir circulaire, appelé callejon, entourant l’arène. Tous trois ont été rapidement expulsés par la sécurité et placés en garde à vue pour « intrusion dans une enceinte sportive troublant le déroulement de la compétition », a précisé le parquet de Nîmes. Le parquet a annoncé dimanche la fin de la garde à vue et la convocation par officier de police judiciaire (COPJ) de Jeremstar et de ses deux compagnons, mesure leur permettant de comparaître directement devant un tribunal. Pour l'heure, la date de l’audience n’a pas été précisée. L’action avait été préparée en collaboration avec Peta France, association de défense animale. Anissa Putois, responsable de la communication de l’organisation, a déclaré : « Nous avions planifié cette action depuis plusieurs mois avec lui ». Dans un communiqué, Peta France a exprimé son opposition à la garde à vue et critiqué ce qu’elle considère comme un traitement injuste des militants : « Punir ceux qui s’opposent à la violence tout en autorisant la torture d’animaux constitue un manquement à la justice ». 🚨🚨 EN DIRECT : lors de la corrida d’ouverture de la Feria des Vendanges à Nîmes, @jeremstar a sauté dans l’arène pour dénoncer la cruauté sanglante de la corrida.🐂✊Il a été violemment poussé à terre et traîné hors de l’arène, puis arrêté par la police ! pic.twitter.com/SG5Pd1gzqa— PETA France (@PETA_France) September 19, 2025 À sa sortie, Jeremstar a affirmé que les conditions de la garde à vue, bien qu’éprouvantes, étaient minimes comparées à la souffrance des taureaux. Sur son compte Instagram, suivi par 2,5 millions d’abonnés, il a expliqué : « Je déteste la corrida. Ce n’est pas de l’art mais de la torture animale. Cette tradition ignoble doit être abolie. » La publication était accompagnée d’une vidéo de son intrusion. Cette affaire intervient alors que Jeremstar doit comparaître jeudi en appel à Paris dans un autre dossier. Il avait été relaxé en première instance en 2023 dans une affaire où un ancien collaborateur l’accuse de travail dissimulé pour des vidéos tournées entre 2012 et 2017.
Vendredi soir, Jérémy Gisclon, connu sous le nom de Jeremstar, a interrompu une corrida aux arènes de Nîmes en pénétrant dans l’arène avec un tissu portant l’inscription « F*CK la CORRIDA ». Deux autres militants, vêtus de tee-shirts barrés du mot « corrida » en rouge, ont parcouru le couloir circulaire, appelé callejon, entourant l’arène. Tous trois ont été rapidement expulsés par la sécurité et placés en garde à vue pour « intrusion dans une enceinte sportive troublant le déroulement de la compétition », a précisé le parquet de Nîmes. Le parquet a annoncé dimanche la fin de la garde à vue et la convocation par officier de police judiciaire (COPJ) de Jeremstar et de ses deux compagnons, mesure leur permettant de comparaître directement devant un tribunal. Pour l'heure, la date de l’audience n’a pas été précisée. L’action avait été préparée en collaboration avec Peta France, association de défense animale. Anissa Putois, responsable de la communication de l’organisation, a déclaré : « Nous avions planifié cette action depuis plusieurs mois avec lui ». Dans un communiqué, Peta France a exprimé son opposition à la garde à vue et critiqué ce qu’elle considère comme un traitement injuste des militants : « Punir ceux qui s’opposent à la violence tout en autorisant la torture d’animaux constitue un manquement à la justice ». 🚨🚨 EN DIRECT : lors de la corrida d’ouverture de la Feria des Vendanges à Nîmes, @jeremstar a sauté dans l’arène pour dénoncer la cruauté sanglante de la corrida.🐂✊Il a été violemment poussé à terre et traîné hors de l’arène, puis arrêté par la police ! pic.twitter.com/SG5Pd1gzqa— PETA France (@PETA_France) September 19, 2025 À sa sortie, Jeremstar a affirmé que les conditions de la garde à vue, bien qu’éprouvantes, étaient minimes comparées à la souffrance des taureaux. Sur son compte Instagram, suivi par 2,5 millions d’abonnés, il a expliqué : « Je déteste la corrida. Ce n’est pas de l’art mais de la torture animale. Cette tradition ignoble doit être abolie. » La publication était accompagnée d’une vidéo de son intrusion. Cette affaire intervient alors que Jeremstar doit comparaître jeudi en appel à Paris dans un autre dossier. Il avait été relaxé en première instance en 2023 dans une affaire où un ancien collaborateur l’accuse de travail dissimulé pour des vidéos tournées entre 2012 et 2017.
Vendredi soir, Jérémy Gisclon, connu sous le nom de Jeremstar, a interrompu une corrida aux arènes de Nîmes en pénétrant dans l’arène avec un tissu portant l’inscription « F*CK la CORRIDA ». Deux autres militants, vêtus de tee-shirts barrés du mot « corrida » en rouge, ont parcouru le couloir circulaire, appelé callejon, entourant l’arène. Tous trois ont été rapidement expulsés par la sécurité et placés en garde à vue pour « intrusion dans une enceinte sportive troublant le déroulement de la compétition », a précisé le parquet de Nîmes. Le parquet a annoncé dimanche la fin de la garde à vue et la convocation par officier de police judiciaire (COPJ) de Jeremstar et de ses deux compagnons, mesure leur permettant de comparaître directement devant un tribunal. Pour l'heure, la date de l’audience n’a pas été précisée. L’action avait été préparée en collaboration avec Peta France, association de défense animale. Anissa Putois, responsable de la communication de l’organisation, a déclaré : « Nous avions planifié cette action depuis plusieurs mois avec lui ». Dans un communiqué, Peta France a exprimé son opposition à la garde à vue et critiqué ce qu’elle considère comme un traitement injuste des militants : « Punir ceux qui s’opposent à la violence tout en autorisant la torture d’animaux constitue un manquement à la justice ». 🚨🚨 EN DIRECT : lors de la corrida d’ouverture de la Feria des Vendanges à Nîmes, @jeremstar a sauté dans l’arène pour dénoncer la cruauté sanglante de la corrida.🐂✊Il a été violemment poussé à terre et traîné hors de l’arène, puis arrêté par la police ! pic.twitter.com/SG5Pd1gzqa— PETA France (@PETA_France) September 19, 2025 À sa sortie, Jeremstar a affirmé que les conditions de la garde à vue, bien qu’éprouvantes, étaient minimes comparées à la souffrance des taureaux. Sur son compte Instagram, suivi par 2,5 millions d’abonnés, il a expliqué : « Je déteste la corrida. Ce n’est pas de l’art mais de la torture animale. Cette tradition ignoble doit être abolie. » La publication était accompagnée d’une vidéo de son intrusion. Cette affaire intervient alors que Jeremstar doit comparaître jeudi en appel à Paris dans un autre dossier. Il avait été relaxé en première instance en 2023 dans une affaire où un ancien collaborateur l’accuse de travail dissimulé pour des vidéos tournées entre 2012 et 2017.