Avec sa disparition, certaines zones d’ombre risquent de ne jamais être pleinement éclaircies. Le nom de Ziad Takieddine est revenu à de multiples reprises dans l’affaire dite du financement libyen. Il avait affirmé avoir transporté, depuis Tripoli, d’importantes sommes d’argent liquide destinées à l’entourage de Nicolas Sarkozy, candidat à l’élection présidentielle de 2007. Parmi les personnes citées figurait Claude Guéant, alors secrétaire général de l’Élysée. Le Parquet national financier avait par ailleurs relevé que l’homme d’affaires avait perçu six millions d’euros sur un compte libanais, somme présentée comme issue de fonds libyens. Nicolas Sarkozy avait toujours contesté ces accusations, arguant des déclarations infondées. Lors du procès tenu en janvier 2025, auquel Ziad Takieddine n’avait pas assisté en raison de son exil, plusieurs coprévenus l’avaient décrit comme un « menteur » uniquement préoccupé par ses propres intérêts. En 2020, Ziad Takieddine avait été condamné à cinq ans de prison ferme dans le cadre de l’affaire dite de Karachi, un dossier lié à la vente d’armes dans les années 1990 au Pakistan et à l’Arabie saoudite. Son rôle d’intermédiaire dans plusieurs contrats internationaux lui avait valu une influence certaine dans les milieux politiques et économiques.
Avec sa disparition, certaines zones d’ombre risquent de ne jamais être pleinement éclaircies. Le nom de Ziad Takieddine est revenu à de multiples reprises dans l’affaire dite du financement libyen. Il avait affirmé avoir transporté, depuis Tripoli, d’importantes sommes d’argent liquide destinées à l’entourage de Nicolas Sarkozy, candidat à l’élection présidentielle de 2007. Parmi les personnes citées figurait Claude Guéant, alors secrétaire général de l’Élysée. Le Parquet national financier avait par ailleurs relevé que l’homme d’affaires avait perçu six millions d’euros sur un compte libanais, somme présentée comme issue de fonds libyens. Nicolas Sarkozy avait toujours contesté ces accusations, arguant des déclarations infondées. Lors du procès tenu en janvier 2025, auquel Ziad Takieddine n’avait pas assisté en raison de son exil, plusieurs coprévenus l’avaient décrit comme un « menteur » uniquement préoccupé par ses propres intérêts. En 2020, Ziad Takieddine avait été condamné à cinq ans de prison ferme dans le cadre de l’affaire dite de Karachi, un dossier lié à la vente d’armes dans les années 1990 au Pakistan et à l’Arabie saoudite. Son rôle d’intermédiaire dans plusieurs contrats internationaux lui avait valu une influence certaine dans les milieux politiques et économiques.
Avec sa disparition, certaines zones d’ombre risquent de ne jamais être pleinement éclaircies. Le nom de Ziad Takieddine est revenu à de multiples reprises dans l’affaire dite du financement libyen. Il avait affirmé avoir transporté, depuis Tripoli, d’importantes sommes d’argent liquide destinées à l’entourage de Nicolas Sarkozy, candidat à l’élection présidentielle de 2007. Parmi les personnes citées figurait Claude Guéant, alors secrétaire général de l’Élysée. Le Parquet national financier avait par ailleurs relevé que l’homme d’affaires avait perçu six millions d’euros sur un compte libanais, somme présentée comme issue de fonds libyens. Nicolas Sarkozy avait toujours contesté ces accusations, arguant des déclarations infondées. Lors du procès tenu en janvier 2025, auquel Ziad Takieddine n’avait pas assisté en raison de son exil, plusieurs coprévenus l’avaient décrit comme un « menteur » uniquement préoccupé par ses propres intérêts. En 2020, Ziad Takieddine avait été condamné à cinq ans de prison ferme dans le cadre de l’affaire dite de Karachi, un dossier lié à la vente d’armes dans les années 1990 au Pakistan et à l’Arabie saoudite. Son rôle d’intermédiaire dans plusieurs contrats internationaux lui avait valu une influence certaine dans les milieux politiques et économiques.