Le nouveau taux de 2 % s’appliquera uniquement aux plans d’épargne logement ouverts à partir de 2026. Les détenteurs de PEL déjà existants ne sont pas concernés. Comme le prévoit la réglementation, les conditions de rémunération restent figées à la date de signature du contrat. Cette spécificité distingue le PEL d’autres produits réglementés, comme le Livret A, dont les taux sont révisés périodiquement. En ouvrant un plan, l’épargnant conserve le taux initial pendant toute la durée du PEL, soit jusqu’à 15 ans. Seuls les plans souscrits avant le 1er mars 2011 peuvent, eux, être conservés sans limite de temps. Un produit conçu pour l’épargne et le financement immobilier Le plan d’épargne logement occupe une place particulière dans l’épargne des Français. Il sert d’abord à constituer une épargne dédiée à un projet immobilier, qu’il s’agisse de l’achat d’un logement ou de travau, mais aussi à permettre l’accès à un prêt, sous certaines conditions. Deux taux sont donc associés au PEL. Le premier correspond à la rémunération de l’épargne déposée sur le plan, fixée à 2 % pour les ouvertures à partir de 2026. Le second concerne le taux du prêt immobilier auquel le titulaire peut prétendre. Celui-ci est supérieur de 1,20 point au taux de l’épargne, soit 3,20 % pour les nouveaux plans. L’ouverture d’un PEL implique le respect de conditions précises. Un versement initial minimum de 225 euros est requis. Par la suite, l’épargnant doit alimenter son plan à hauteur d’au moins 540 euros par an. Le montant total des dépôts est plafonné à 61.200 euros, hors intérêts. Ces règles visent à garantir une épargne régulière et progressive, en cohérence avec la vocation immobilière du dispositif. Des taux en évolution sur la dernière décennie Le niveau de rémunération du PEL a connu plusieurs ajustements ces dernières années. Le taux applicable en 2025 avait été abaissé à 1,75 %, après deux hausses successives. Les plans ouverts depuis le 1er janvier 2024 bénéficient, eux, d’un taux de 2,25 %. À titre de comparaison, les PEL souscrits en 2023 offraient un rendement de 2 %, tandis que ceux ouverts entre août 2016 et fin 2022 affichaient un taux de 1 %. Ces variations traduisent l’adaptation progressive du produit aux conditions économiques et financières. Un encours toujours élevé Malgré ces évolutions, le plan d’épargne logement demeure largement détenu par les ménages. Avec un encours de 207,1 milliards d’euros à la fin juin 2025, selon les données de la Banque de France, il se place au deuxième rang des produits d’épargne réglementée, derrière le Livret A.
Le nouveau taux de 2 % s’appliquera uniquement aux plans d’épargne logement ouverts à partir de 2026. Les détenteurs de PEL déjà existants ne sont pas concernés. Comme le prévoit la réglementation, les conditions de rémunération restent figées à la date de signature du contrat. Cette spécificité distingue le PEL d’autres produits réglementés, comme le Livret A, dont les taux sont révisés périodiquement. En ouvrant un plan, l’épargnant conserve le taux initial pendant toute la durée du PEL, soit jusqu’à 15 ans. Seuls les plans souscrits avant le 1er mars 2011 peuvent, eux, être conservés sans limite de temps. Un produit conçu pour l’épargne et le financement immobilier Le plan d’épargne logement occupe une place particulière dans l’épargne des Français. Il sert d’abord à constituer une épargne dédiée à un projet immobilier, qu’il s’agisse de l’achat d’un logement ou de travau, mais aussi à permettre l’accès à un prêt, sous certaines conditions. Deux taux sont donc associés au PEL. Le premier correspond à la rémunération de l’épargne déposée sur le plan, fixée à 2 % pour les ouvertures à partir de 2026. Le second concerne le taux du prêt immobilier auquel le titulaire peut prétendre. Celui-ci est supérieur de 1,20 point au taux de l’épargne, soit 3,20 % pour les nouveaux plans. L’ouverture d’un PEL implique le respect de conditions précises. Un versement initial minimum de 225 euros est requis. Par la suite, l’épargnant doit alimenter son plan à hauteur d’au moins 540 euros par an. Le montant total des dépôts est plafonné à 61.200 euros, hors intérêts. Ces règles visent à garantir une épargne régulière et progressive, en cohérence avec la vocation immobilière du dispositif. Des taux en évolution sur la dernière décennie Le niveau de rémunération du PEL a connu plusieurs ajustements ces dernières années. Le taux applicable en 2025 avait été abaissé à 1,75 %, après deux hausses successives. Les plans ouverts depuis le 1er janvier 2024 bénéficient, eux, d’un taux de 2,25 %. À titre de comparaison, les PEL souscrits en 2023 offraient un rendement de 2 %, tandis que ceux ouverts entre août 2016 et fin 2022 affichaient un taux de 1 %. Ces variations traduisent l’adaptation progressive du produit aux conditions économiques et financières. Un encours toujours élevé Malgré ces évolutions, le plan d’épargne logement demeure largement détenu par les ménages. Avec un encours de 207,1 milliards d’euros à la fin juin 2025, selon les données de la Banque de France, il se place au deuxième rang des produits d’épargne réglementée, derrière le Livret A.
Le nouveau taux de 2 % s’appliquera uniquement aux plans d’épargne logement ouverts à partir de 2026. Les détenteurs de PEL déjà existants ne sont pas concernés. Comme le prévoit la réglementation, les conditions de rémunération restent figées à la date de signature du contrat. Cette spécificité distingue le PEL d’autres produits réglementés, comme le Livret A, dont les taux sont révisés périodiquement. En ouvrant un plan, l’épargnant conserve le taux initial pendant toute la durée du PEL, soit jusqu’à 15 ans. Seuls les plans souscrits avant le 1er mars 2011 peuvent, eux, être conservés sans limite de temps. Un produit conçu pour l’épargne et le financement immobilier Le plan d’épargne logement occupe une place particulière dans l’épargne des Français. Il sert d’abord à constituer une épargne dédiée à un projet immobilier, qu’il s’agisse de l’achat d’un logement ou de travau, mais aussi à permettre l’accès à un prêt, sous certaines conditions. Deux taux sont donc associés au PEL. Le premier correspond à la rémunération de l’épargne déposée sur le plan, fixée à 2 % pour les ouvertures à partir de 2026. Le second concerne le taux du prêt immobilier auquel le titulaire peut prétendre. Celui-ci est supérieur de 1,20 point au taux de l’épargne, soit 3,20 % pour les nouveaux plans. L’ouverture d’un PEL implique le respect de conditions précises. Un versement initial minimum de 225 euros est requis. Par la suite, l’épargnant doit alimenter son plan à hauteur d’au moins 540 euros par an. Le montant total des dépôts est plafonné à 61.200 euros, hors intérêts. Ces règles visent à garantir une épargne régulière et progressive, en cohérence avec la vocation immobilière du dispositif. Des taux en évolution sur la dernière décennie Le niveau de rémunération du PEL a connu plusieurs ajustements ces dernières années. Le taux applicable en 2025 avait été abaissé à 1,75 %, après deux hausses successives. Les plans ouverts depuis le 1er janvier 2024 bénéficient, eux, d’un taux de 2,25 %. À titre de comparaison, les PEL souscrits en 2023 offraient un rendement de 2 %, tandis que ceux ouverts entre août 2016 et fin 2022 affichaient un taux de 1 %. Ces variations traduisent l’adaptation progressive du produit aux conditions économiques et financières. Un encours toujours élevé Malgré ces évolutions, le plan d’épargne logement demeure largement détenu par les ménages. Avec un encours de 207,1 milliards d’euros à la fin juin 2025, selon les données de la Banque de France, il se place au deuxième rang des produits d’épargne réglementée, derrière le Livret A.