Dès la fin du mois de juillet, Lisbonne avait fait savoir qu’elle envisageait ce pas diplomatique. Le gouvernement expliquait alors avoir mené de nombreux échanges avec ses partenaires et justifiait sa position par l’évolution « extrêmement préoccupante » du conflit israélo-palestinien, en particulier sur le plan humanitaire. Il évoquait aussi les références répétées à une possible annexion de territoires palestiniens par Israël, jugées incompatibles voire illégale vis-à-vis du droit international. Une initiative collective en marge de l’Assemblée générale Le Portugal ne sera pas isolé. Dès lundi, un sommet coprésidé par la France et l’Arabie saoudite se tiendra à New York en marge des travaux onusiens. La finalité est de relancer la perspective d’une solution à deux États, israélien et palestinien, vivant côte à côte dans la paix et la sécurité. Selon la présidence française, neuf autres pays annonceront eux aussi leur reconnaissance officielle de l’État palestinien : Andorre, Australie, Belgique, Canada, Luxembourg, Malte, Royaume-Uni, Saint-Marin et la France. En mai 2024, l’Espagne, l’Irlande et la Norvège avaient reconnu l’État de Palestine, une étape importante en Europe occidentale. La semaine dernière, l’Assemblée générale des Nations unies a adopté, par une majorité écrasante, une résolution réaffirmant son appui à la création d’un futur État palestinien, tout en écartant explicitement le Hamas de cette reconnaissance internationale. À ce jour, près de trois quarts des 193 États membres de l’ONU reconnaissent déjà l’État palestinien, proclamé en 1988 par la direction palestinienne en exil.
Dès la fin du mois de juillet, Lisbonne avait fait savoir qu’elle envisageait ce pas diplomatique. Le gouvernement expliquait alors avoir mené de nombreux échanges avec ses partenaires et justifiait sa position par l’évolution « extrêmement préoccupante » du conflit israélo-palestinien, en particulier sur le plan humanitaire. Il évoquait aussi les références répétées à une possible annexion de territoires palestiniens par Israël, jugées incompatibles voire illégale vis-à-vis du droit international. Une initiative collective en marge de l’Assemblée générale Le Portugal ne sera pas isolé. Dès lundi, un sommet coprésidé par la France et l’Arabie saoudite se tiendra à New York en marge des travaux onusiens. La finalité est de relancer la perspective d’une solution à deux États, israélien et palestinien, vivant côte à côte dans la paix et la sécurité. Selon la présidence française, neuf autres pays annonceront eux aussi leur reconnaissance officielle de l’État palestinien : Andorre, Australie, Belgique, Canada, Luxembourg, Malte, Royaume-Uni, Saint-Marin et la France. En mai 2024, l’Espagne, l’Irlande et la Norvège avaient reconnu l’État de Palestine, une étape importante en Europe occidentale. La semaine dernière, l’Assemblée générale des Nations unies a adopté, par une majorité écrasante, une résolution réaffirmant son appui à la création d’un futur État palestinien, tout en écartant explicitement le Hamas de cette reconnaissance internationale. À ce jour, près de trois quarts des 193 États membres de l’ONU reconnaissent déjà l’État palestinien, proclamé en 1988 par la direction palestinienne en exil.
Dès la fin du mois de juillet, Lisbonne avait fait savoir qu’elle envisageait ce pas diplomatique. Le gouvernement expliquait alors avoir mené de nombreux échanges avec ses partenaires et justifiait sa position par l’évolution « extrêmement préoccupante » du conflit israélo-palestinien, en particulier sur le plan humanitaire. Il évoquait aussi les références répétées à une possible annexion de territoires palestiniens par Israël, jugées incompatibles voire illégale vis-à-vis du droit international. Une initiative collective en marge de l’Assemblée générale Le Portugal ne sera pas isolé. Dès lundi, un sommet coprésidé par la France et l’Arabie saoudite se tiendra à New York en marge des travaux onusiens. La finalité est de relancer la perspective d’une solution à deux États, israélien et palestinien, vivant côte à côte dans la paix et la sécurité. Selon la présidence française, neuf autres pays annonceront eux aussi leur reconnaissance officielle de l’État palestinien : Andorre, Australie, Belgique, Canada, Luxembourg, Malte, Royaume-Uni, Saint-Marin et la France. En mai 2024, l’Espagne, l’Irlande et la Norvège avaient reconnu l’État de Palestine, une étape importante en Europe occidentale. La semaine dernière, l’Assemblée générale des Nations unies a adopté, par une majorité écrasante, une résolution réaffirmant son appui à la création d’un futur État palestinien, tout en écartant explicitement le Hamas de cette reconnaissance internationale. À ce jour, près de trois quarts des 193 États membres de l’ONU reconnaissent déjà l’État palestinien, proclamé en 1988 par la direction palestinienne en exil.