Le Syndicat national des journalistes (SNJ) a confirmé vendredi le décès d’Antoni Lallican, 37 ans, tué au cours d’une mission de reportage dans l’est de l’Ukraine. Selon la brigade ukrainienne auprès de laquelle il se trouvait, l’attaque est venue d’un drone FPV russe qui a visé de manière ciblée. Le SNJ a souligné qu’il s’agissait du premier cas connu de journaliste tué par un drone depuis le début du conflit en février 2022, marquant une étape préoccupante dans l’évolution des dangers pour la presse sur le terrain. Depuis le début de la guerre en Ukraine, le nombre de journalistes tués varie selon les organisations. L’Unesco recense 22 décès, tandis que le Syndicat national des journalistes en dénombre 17. Le cas d’Antoni Lallican vient allonger cette liste et rappelle la vulnérabilité persistante des reporters dans les zones de conflit, où ils continuent d’exercer leur métier au péril de leur vie. Des reporters clairement identifiés comme journalistes Le président Emmanuel Macron a réagi rapidement dans un message publié sur X (anciennement Twitter). Il a exprimé sa « profonde tristesse » et rappelé que le photographe avait trouvé la mort « alors qu’il accompagnait l’armée ukrainienne sur le front de la résistance ». De leur côté, la Fédération européenne des journalistes (FEJ) et la Fédération internationale des journalistes (FIJ) ont dénoncé un « crime de guerre » et demandé l’ouverture d’une enquête indépendante pour identifier les auteurs de cette attaque. La brigade ukrainienne a insisté sur le fait que les deux reporters portaient un gilet de protection marqué du mot « PRESSE » et qu’ils étaient équipés conformément aux standards de sécurité. Malgré ces précautions, le drone les a atteints aux premières heures de la matinée, vers 6 h 20 TU. Le journaliste ukrainien Heorgiy Ivanchenko, présent avec Antoni Lallican, a été blessé mais ses jours ne seraient pas en danger. Basé à Paris, Antoni Lallican travaillait pour de nombreux titres français comme Le Monde, Le Figaro, Libération ou Paris Match. Il collaborait également avec des rédactions étrangères, notamment Der Spiegel, Die Welt et Le Temps. Depuis 2018, il faisait partie de l’agence photographique Hans Lucas. Son président, Wilfrid Estève, a confirmé sa disparition et rendu hommage à un professionnel reconnu pour son engagement et son exigence journalistique.
Le Syndicat national des journalistes (SNJ) a confirmé vendredi le décès d’Antoni Lallican, 37 ans, tué au cours d’une mission de reportage dans l’est de l’Ukraine. Selon la brigade ukrainienne auprès de laquelle il se trouvait, l’attaque est venue d’un drone FPV russe qui a visé de manière ciblée. Le SNJ a souligné qu’il s’agissait du premier cas connu de journaliste tué par un drone depuis le début du conflit en février 2022, marquant une étape préoccupante dans l’évolution des dangers pour la presse sur le terrain. Depuis le début de la guerre en Ukraine, le nombre de journalistes tués varie selon les organisations. L’Unesco recense 22 décès, tandis que le Syndicat national des journalistes en dénombre 17. Le cas d’Antoni Lallican vient allonger cette liste et rappelle la vulnérabilité persistante des reporters dans les zones de conflit, où ils continuent d’exercer leur métier au péril de leur vie. Des reporters clairement identifiés comme journalistes Le président Emmanuel Macron a réagi rapidement dans un message publié sur X (anciennement Twitter). Il a exprimé sa « profonde tristesse » et rappelé que le photographe avait trouvé la mort « alors qu’il accompagnait l’armée ukrainienne sur le front de la résistance ». De leur côté, la Fédération européenne des journalistes (FEJ) et la Fédération internationale des journalistes (FIJ) ont dénoncé un « crime de guerre » et demandé l’ouverture d’une enquête indépendante pour identifier les auteurs de cette attaque. La brigade ukrainienne a insisté sur le fait que les deux reporters portaient un gilet de protection marqué du mot « PRESSE » et qu’ils étaient équipés conformément aux standards de sécurité. Malgré ces précautions, le drone les a atteints aux premières heures de la matinée, vers 6 h 20 TU. Le journaliste ukrainien Heorgiy Ivanchenko, présent avec Antoni Lallican, a été blessé mais ses jours ne seraient pas en danger. Basé à Paris, Antoni Lallican travaillait pour de nombreux titres français comme Le Monde, Le Figaro, Libération ou Paris Match. Il collaborait également avec des rédactions étrangères, notamment Der Spiegel, Die Welt et Le Temps. Depuis 2018, il faisait partie de l’agence photographique Hans Lucas. Son président, Wilfrid Estève, a confirmé sa disparition et rendu hommage à un professionnel reconnu pour son engagement et son exigence journalistique.
Le Syndicat national des journalistes (SNJ) a confirmé vendredi le décès d’Antoni Lallican, 37 ans, tué au cours d’une mission de reportage dans l’est de l’Ukraine. Selon la brigade ukrainienne auprès de laquelle il se trouvait, l’attaque est venue d’un drone FPV russe qui a visé de manière ciblée. Le SNJ a souligné qu’il s’agissait du premier cas connu de journaliste tué par un drone depuis le début du conflit en février 2022, marquant une étape préoccupante dans l’évolution des dangers pour la presse sur le terrain. Depuis le début de la guerre en Ukraine, le nombre de journalistes tués varie selon les organisations. L’Unesco recense 22 décès, tandis que le Syndicat national des journalistes en dénombre 17. Le cas d’Antoni Lallican vient allonger cette liste et rappelle la vulnérabilité persistante des reporters dans les zones de conflit, où ils continuent d’exercer leur métier au péril de leur vie. Des reporters clairement identifiés comme journalistes Le président Emmanuel Macron a réagi rapidement dans un message publié sur X (anciennement Twitter). Il a exprimé sa « profonde tristesse » et rappelé que le photographe avait trouvé la mort « alors qu’il accompagnait l’armée ukrainienne sur le front de la résistance ». De leur côté, la Fédération européenne des journalistes (FEJ) et la Fédération internationale des journalistes (FIJ) ont dénoncé un « crime de guerre » et demandé l’ouverture d’une enquête indépendante pour identifier les auteurs de cette attaque. La brigade ukrainienne a insisté sur le fait que les deux reporters portaient un gilet de protection marqué du mot « PRESSE » et qu’ils étaient équipés conformément aux standards de sécurité. Malgré ces précautions, le drone les a atteints aux premières heures de la matinée, vers 6 h 20 TU. Le journaliste ukrainien Heorgiy Ivanchenko, présent avec Antoni Lallican, a été blessé mais ses jours ne seraient pas en danger. Basé à Paris, Antoni Lallican travaillait pour de nombreux titres français comme Le Monde, Le Figaro, Libération ou Paris Match. Il collaborait également avec des rédactions étrangères, notamment Der Spiegel, Die Welt et Le Temps. Depuis 2018, il faisait partie de l’agence photographique Hans Lucas. Son président, Wilfrid Estève, a confirmé sa disparition et rendu hommage à un professionnel reconnu pour son engagement et son exigence journalistique.