Selon les informations de Déchiffreur, Mehdi Bassit, vidéaste suivi par plus de deux millions de personnes sur TikTok, aurait laissé derrière lui une lettre de 28 pages détaillant son profond mal-être et notamment le harcèlement dont il était la cible sur internet. « Mehdi n'avait plus d'issu, la seule vérité figure dans ces 28 pages. », nous confie un proche. À ce jour, seule une personne de la famille aurait eu accès au contenu de la lettre. Elle est actuellement placé sous scellé par les autorités. Une enquête judiciaire a été ouverte afin de faire toute la lumière sur les circonstances entourant ce drame. Toujours d’après nos informations, plusieurs personnes auraient déjà été entendues par les enquêteurs dans le cadre de cette procédure en cours. En juillet dernier, quelques jours après le décès de l’influenceur, une marche blanche a réuni des milliers de personnes venues rendre hommage à Mehdi Bassit. Présent sur place, Déchiffreur a pu constater l’émotion et la mobilisation. Les participants ont souhaité non seulement honorer sa mémoire, mais aussi dénoncer le harcèlement dont il a été victime pendant de longs mois. Une petition lancée sur le site de l'assemblée nationale Julien Girondi, un proche de Mehdi, a lancé une pétition sur le site de l’Assemblée nationale avec l’accord de la famille. Cette initiative qui à pour but d'interpeller les pouvoirs publics, a déjà recueilli plus de 50 000 signatures, soit la moitié du seuil requis pour qu’elle soit transmise à la commission des affaires culturelles et de l’éducation. L’objectif affiché est d'obtenir une réponse politique et législative afin d'éviter qu’une telle situation puisse se reproduire. « Il ne faut plus jamais que cela arrive, il faut aller signer la pétition », affirme-t-elle, avant d’ajouter : « Pour le moment, je ne peux pas parler, mais un jour je raconterai vraiment tout dans les détails. J’ai promis à Mehdi, avant qu’il parte pour toujours, que je le vengerai et que je ne laisserai personne démentir sa vérité, parce qu’il n’est pas parti pour rien. Si je dois consacrer toute ma vie à ce combat, je le ferai, car Mehdi, c’était le rayon de soleil de tout le monde. » Elle insiste sur l’importance de la mobilisation « La pétition ne sert pas à rien, elle sert vraiment à quelque chose, donc il faut la signer. » Si la mobilisation se poursuit et que les 100 000 signatures sont atteintes, une commission d’enquête parlementaire pourra être ouverte. Elle aura alors pour mission d’entendre les différents acteurs concernés et de mettre en lumière les circonstances de cette affaire. Pour les proches de Mehdi, cette étape constituerait un signal fort : la reconnaissance de leur démarche et la perspective de voir ce combat trouver un écho au sein de l’institution parlementaire.
Selon les informations de Déchiffreur, Mehdi Bassit, vidéaste suivi par plus de deux millions de personnes sur TikTok, aurait laissé derrière lui une lettre de 28 pages détaillant son profond mal-être et notamment le harcèlement dont il était la cible sur internet. « Mehdi n'avait plus d'issu, la seule vérité figure dans ces 28 pages. », nous confie un proche. À ce jour, seule une personne de la famille aurait eu accès au contenu de la lettre. Elle est actuellement placé sous scellé par les autorités. Une enquête judiciaire a été ouverte afin de faire toute la lumière sur les circonstances entourant ce drame. Toujours d’après nos informations, plusieurs personnes auraient déjà été entendues par les enquêteurs dans le cadre de cette procédure en cours. En juillet dernier, quelques jours après le décès de l’influenceur, une marche blanche a réuni des milliers de personnes venues rendre hommage à Mehdi Bassit. Présent sur place, Déchiffreur a pu constater l’émotion et la mobilisation. Les participants ont souhaité non seulement honorer sa mémoire, mais aussi dénoncer le harcèlement dont il a été victime pendant de longs mois. Une petition lancée sur le site de l'assemblée nationale Julien Girondi, un proche de Mehdi, a lancé une pétition sur le site de l’Assemblée nationale avec l’accord de la famille. Cette initiative qui à pour but d'interpeller les pouvoirs publics, a déjà recueilli plus de 50 000 signatures, soit la moitié du seuil requis pour qu’elle soit transmise à la commission des affaires culturelles et de l’éducation. L’objectif affiché est d'obtenir une réponse politique et législative afin d'éviter qu’une telle situation puisse se reproduire. « Il ne faut plus jamais que cela arrive, il faut aller signer la pétition », affirme-t-elle, avant d’ajouter : « Pour le moment, je ne peux pas parler, mais un jour je raconterai vraiment tout dans les détails. J’ai promis à Mehdi, avant qu’il parte pour toujours, que je le vengerai et que je ne laisserai personne démentir sa vérité, parce qu’il n’est pas parti pour rien. Si je dois consacrer toute ma vie à ce combat, je le ferai, car Mehdi, c’était le rayon de soleil de tout le monde. » Elle insiste sur l’importance de la mobilisation « La pétition ne sert pas à rien, elle sert vraiment à quelque chose, donc il faut la signer. » Si la mobilisation se poursuit et que les 100 000 signatures sont atteintes, une commission d’enquête parlementaire pourra être ouverte. Elle aura alors pour mission d’entendre les différents acteurs concernés et de mettre en lumière les circonstances de cette affaire. Pour les proches de Mehdi, cette étape constituerait un signal fort : la reconnaissance de leur démarche et la perspective de voir ce combat trouver un écho au sein de l’institution parlementaire.
Selon les informations de Déchiffreur, Mehdi Bassit, vidéaste suivi par plus de deux millions de personnes sur TikTok, aurait laissé derrière lui une lettre de 28 pages détaillant son profond mal-être et notamment le harcèlement dont il était la cible sur internet. « Mehdi n'avait plus d'issu, la seule vérité figure dans ces 28 pages. », nous confie un proche. À ce jour, seule une personne de la famille aurait eu accès au contenu de la lettre. Elle est actuellement placé sous scellé par les autorités. Une enquête judiciaire a été ouverte afin de faire toute la lumière sur les circonstances entourant ce drame. Toujours d’après nos informations, plusieurs personnes auraient déjà été entendues par les enquêteurs dans le cadre de cette procédure en cours. En juillet dernier, quelques jours après le décès de l’influenceur, une marche blanche a réuni des milliers de personnes venues rendre hommage à Mehdi Bassit. Présent sur place, Déchiffreur a pu constater l’émotion et la mobilisation. Les participants ont souhaité non seulement honorer sa mémoire, mais aussi dénoncer le harcèlement dont il a été victime pendant de longs mois. Une petition lancée sur le site de l'assemblée nationale Julien Girondi, un proche de Mehdi, a lancé une pétition sur le site de l’Assemblée nationale avec l’accord de la famille. Cette initiative qui à pour but d'interpeller les pouvoirs publics, a déjà recueilli plus de 50 000 signatures, soit la moitié du seuil requis pour qu’elle soit transmise à la commission des affaires culturelles et de l’éducation. L’objectif affiché est d'obtenir une réponse politique et législative afin d'éviter qu’une telle situation puisse se reproduire. « Il ne faut plus jamais que cela arrive, il faut aller signer la pétition », affirme-t-elle, avant d’ajouter : « Pour le moment, je ne peux pas parler, mais un jour je raconterai vraiment tout dans les détails. J’ai promis à Mehdi, avant qu’il parte pour toujours, que je le vengerai et que je ne laisserai personne démentir sa vérité, parce qu’il n’est pas parti pour rien. Si je dois consacrer toute ma vie à ce combat, je le ferai, car Mehdi, c’était le rayon de soleil de tout le monde. » Elle insiste sur l’importance de la mobilisation « La pétition ne sert pas à rien, elle sert vraiment à quelque chose, donc il faut la signer. » Si la mobilisation se poursuit et que les 100 000 signatures sont atteintes, une commission d’enquête parlementaire pourra être ouverte. Elle aura alors pour mission d’entendre les différents acteurs concernés et de mettre en lumière les circonstances de cette affaire. Pour les proches de Mehdi, cette étape constituerait un signal fort : la reconnaissance de leur démarche et la perspective de voir ce combat trouver un écho au sein de l’institution parlementaire.