Ces dernières semaines, Elon Musk a intensifié ses attaques contre Apple, accusé de rendre impossible l’accès à la première place de l’App Store pour toute application d’intelligence artificielle autre que celle d’OpenAI. Ces accusations ont conduit à un échange tendu avec Sam Altman, directeur général d’OpenAI. Ce dernier a qualifié les propos de Musk d’« étonnants », tandis que l’intéressé a répondu en l’accusant de mensonge. Une rivalité qui se transforme en bataille judiciaire Elon Musk a saisi un tribunal fédéral du Texas pour dénoncer un accord présumé entre Apple, fabricant de l’iPhone, et OpenAI, créateur de ChatGPT. Selon la plainte, ce partenariat vise à intégrer l’assistant conversationnel directement dans l’écosystème Apple, notamment via la commande vocale Siri, réduisant les chances de concurrents comme Grok, l’assistant développé par xAI, de se developper. Dans le document, on peut lire : « C’est l’histoire de deux monopoles qui unissent leurs forces pour assurer leur domination continue dans un monde désormais propulsé par la technologie la plus puissante jamais créée par l’humanité : l’intelligence artificielle ». Des parts de marché dominantes mises en cause Les plaignants rappellent qu’Apple détient environ 65 % du marché des smartphones aux États-Unis, tandis qu’OpenAI contrôlerait au moins 80 % du marché des assistants d’IA générative grâce à ChatGPT. L’accord annoncé en juin 2024 permettrait à OpenAI de disposer d’un accès exclusif à « des milliards de requêtes d’utilisateurs » issues de centaines de millions d’appareils. Elon Musk reproche aussi à Apple de manipuler les classements de l’App Store, en mettant en avant l’application ChatGPT et en retardant l’approbation des mises à jour de Grok. Ses entreprises demandent plusieurs milliards de dollars de dommages et intérêts, ainsi qu’une injonction visant à faire cesser les pratiques jugées anticoncurrentielles. Un porte-parole d’OpenAI a rejeté les accusations, qualifiant la démarche de « comportement récurrent de M. Musk, caractérisé par le harcèlement ». Apple n’a our l'heure pas réagi.
Ces dernières semaines, Elon Musk a intensifié ses attaques contre Apple, accusé de rendre impossible l’accès à la première place de l’App Store pour toute application d’intelligence artificielle autre que celle d’OpenAI. Ces accusations ont conduit à un échange tendu avec Sam Altman, directeur général d’OpenAI. Ce dernier a qualifié les propos de Musk d’« étonnants », tandis que l’intéressé a répondu en l’accusant de mensonge. Une rivalité qui se transforme en bataille judiciaire Elon Musk a saisi un tribunal fédéral du Texas pour dénoncer un accord présumé entre Apple, fabricant de l’iPhone, et OpenAI, créateur de ChatGPT. Selon la plainte, ce partenariat vise à intégrer l’assistant conversationnel directement dans l’écosystème Apple, notamment via la commande vocale Siri, réduisant les chances de concurrents comme Grok, l’assistant développé par xAI, de se developper. Dans le document, on peut lire : « C’est l’histoire de deux monopoles qui unissent leurs forces pour assurer leur domination continue dans un monde désormais propulsé par la technologie la plus puissante jamais créée par l’humanité : l’intelligence artificielle ». Des parts de marché dominantes mises en cause Les plaignants rappellent qu’Apple détient environ 65 % du marché des smartphones aux États-Unis, tandis qu’OpenAI contrôlerait au moins 80 % du marché des assistants d’IA générative grâce à ChatGPT. L’accord annoncé en juin 2024 permettrait à OpenAI de disposer d’un accès exclusif à « des milliards de requêtes d’utilisateurs » issues de centaines de millions d’appareils. Elon Musk reproche aussi à Apple de manipuler les classements de l’App Store, en mettant en avant l’application ChatGPT et en retardant l’approbation des mises à jour de Grok. Ses entreprises demandent plusieurs milliards de dollars de dommages et intérêts, ainsi qu’une injonction visant à faire cesser les pratiques jugées anticoncurrentielles. Un porte-parole d’OpenAI a rejeté les accusations, qualifiant la démarche de « comportement récurrent de M. Musk, caractérisé par le harcèlement ». Apple n’a our l'heure pas réagi.
Ces dernières semaines, Elon Musk a intensifié ses attaques contre Apple, accusé de rendre impossible l’accès à la première place de l’App Store pour toute application d’intelligence artificielle autre que celle d’OpenAI. Ces accusations ont conduit à un échange tendu avec Sam Altman, directeur général d’OpenAI. Ce dernier a qualifié les propos de Musk d’« étonnants », tandis que l’intéressé a répondu en l’accusant de mensonge. Une rivalité qui se transforme en bataille judiciaire Elon Musk a saisi un tribunal fédéral du Texas pour dénoncer un accord présumé entre Apple, fabricant de l’iPhone, et OpenAI, créateur de ChatGPT. Selon la plainte, ce partenariat vise à intégrer l’assistant conversationnel directement dans l’écosystème Apple, notamment via la commande vocale Siri, réduisant les chances de concurrents comme Grok, l’assistant développé par xAI, de se developper. Dans le document, on peut lire : « C’est l’histoire de deux monopoles qui unissent leurs forces pour assurer leur domination continue dans un monde désormais propulsé par la technologie la plus puissante jamais créée par l’humanité : l’intelligence artificielle ». Des parts de marché dominantes mises en cause Les plaignants rappellent qu’Apple détient environ 65 % du marché des smartphones aux États-Unis, tandis qu’OpenAI contrôlerait au moins 80 % du marché des assistants d’IA générative grâce à ChatGPT. L’accord annoncé en juin 2024 permettrait à OpenAI de disposer d’un accès exclusif à « des milliards de requêtes d’utilisateurs » issues de centaines de millions d’appareils. Elon Musk reproche aussi à Apple de manipuler les classements de l’App Store, en mettant en avant l’application ChatGPT et en retardant l’approbation des mises à jour de Grok. Ses entreprises demandent plusieurs milliards de dollars de dommages et intérêts, ainsi qu’une injonction visant à faire cesser les pratiques jugées anticoncurrentielles. Un porte-parole d’OpenAI a rejeté les accusations, qualifiant la démarche de « comportement récurrent de M. Musk, caractérisé par le harcèlement ». Apple n’a our l'heure pas réagi.