La Défense civile de Gaza a indiqué à plusieurs agences de presse que l’hôpital Nasser, situé à Khan Younès, avait été touché dans l’après-midi. Le bilan communiqué fait état de quinze morts, dont quatre journalistes. Le bâtiment a été atteint à ses étages supérieurs par un drone israélien, alors que plusieurs reporters se trouvaient sur le toit pour couvrir la situation. Selon le quotidien L’Orient-Le Jour, une seconde frappe a eu lieu peu après, au moment où des secouristes tentaient d’accéder aux victimes. Cette double attaque a alourdi le bilan Les journalistes identifiés parmi les victimes Parmi les quatre journalistes tués figure Mohammad Salama, correspondant de la chaîne qatarie Al Jazeera (AJ), dont le décès a été confirmé par la rédaction. Selon le bureau des médias du gouvernement de Gaza, les trois autres victimes sont Houssam el-Masri, photojournaliste ayant collaboré avec Reuters, Mariam Abou Daqa, qui travaillait pour plusieurs rédactions, dont Associated Press (AP) et The Independent Arabic, ainsi que Moaz Abu Taha, reporter de la chaîne américaine NBC. Trois semaines plus tôt, quatre autres journalistes et deux pigistes de la même chaîne avaient déjà été tués dans une frappe israélienne. Un climat de plus en plus dangereux pour la presse Les organisations de presse rappellent régulièrement que Gaza est devenu l’un des territoires les plus dangereux au monde pour les journalistes qui souhaitent faire leur travail d'intérêt public, à savoir informer. Les reporters, locaux comme étrangers, continuent malgré les risques de documenter ce qu'il se passe à Gaza et de faire état de la situation des civils.
La Défense civile de Gaza a indiqué à plusieurs agences de presse que l’hôpital Nasser, situé à Khan Younès, avait été touché dans l’après-midi. Le bilan communiqué fait état de quinze morts, dont quatre journalistes. Le bâtiment a été atteint à ses étages supérieurs par un drone israélien, alors que plusieurs reporters se trouvaient sur le toit pour couvrir la situation. Selon le quotidien L’Orient-Le Jour, une seconde frappe a eu lieu peu après, au moment où des secouristes tentaient d’accéder aux victimes. Cette double attaque a alourdi le bilan Les journalistes identifiés parmi les victimes Parmi les quatre journalistes tués figure Mohammad Salama, correspondant de la chaîne qatarie Al Jazeera (AJ), dont le décès a été confirmé par la rédaction. Selon le bureau des médias du gouvernement de Gaza, les trois autres victimes sont Houssam el-Masri, photojournaliste ayant collaboré avec Reuters, Mariam Abou Daqa, qui travaillait pour plusieurs rédactions, dont Associated Press (AP) et The Independent Arabic, ainsi que Moaz Abu Taha, reporter de la chaîne américaine NBC. Trois semaines plus tôt, quatre autres journalistes et deux pigistes de la même chaîne avaient déjà été tués dans une frappe israélienne. Un climat de plus en plus dangereux pour la presse Les organisations de presse rappellent régulièrement que Gaza est devenu l’un des territoires les plus dangereux au monde pour les journalistes qui souhaitent faire leur travail d'intérêt public, à savoir informer. Les reporters, locaux comme étrangers, continuent malgré les risques de documenter ce qu'il se passe à Gaza et de faire état de la situation des civils.
La Défense civile de Gaza a indiqué à plusieurs agences de presse que l’hôpital Nasser, situé à Khan Younès, avait été touché dans l’après-midi. Le bilan communiqué fait état de quinze morts, dont quatre journalistes. Le bâtiment a été atteint à ses étages supérieurs par un drone israélien, alors que plusieurs reporters se trouvaient sur le toit pour couvrir la situation. Selon le quotidien L’Orient-Le Jour, une seconde frappe a eu lieu peu après, au moment où des secouristes tentaient d’accéder aux victimes. Cette double attaque a alourdi le bilan Les journalistes identifiés parmi les victimes Parmi les quatre journalistes tués figure Mohammad Salama, correspondant de la chaîne qatarie Al Jazeera (AJ), dont le décès a été confirmé par la rédaction. Selon le bureau des médias du gouvernement de Gaza, les trois autres victimes sont Houssam el-Masri, photojournaliste ayant collaboré avec Reuters, Mariam Abou Daqa, qui travaillait pour plusieurs rédactions, dont Associated Press (AP) et The Independent Arabic, ainsi que Moaz Abu Taha, reporter de la chaîne américaine NBC. Trois semaines plus tôt, quatre autres journalistes et deux pigistes de la même chaîne avaient déjà été tués dans une frappe israélienne. Un climat de plus en plus dangereux pour la presse Les organisations de presse rappellent régulièrement que Gaza est devenu l’un des territoires les plus dangereux au monde pour les journalistes qui souhaitent faire leur travail d'intérêt public, à savoir informer. Les reporters, locaux comme étrangers, continuent malgré les risques de documenter ce qu'il se passe à Gaza et de faire état de la situation des civils.
