Emmanuel Macron a indiqué que Camilo Castro était désormais libre, remerciant ceux qui ont contribué à cette issue et rappelant que l’action diplomatique française progresse souvent discrètement mais avec constance. Le président n’a pas apporté de précisions supplémentaires sur les conditions de détention de ce Français de 41 ans, arrêté après sa disparition le 26 juin. Sa mère, Hélène Boursier, militante d’Amnesty International, a confié auprès de plusieurs médias éprouver un soulagement difficile à décrire tant l’attente a été longue et marquée par l’incertitude.Elle dit vouloir continuer à défendre les personnes encore détenues ou portées disparues, rappelant que la libération de son fils ne met pas fin à son engagement. Une disparition survenue à la frontière Camilo Castro, professeur de yoga installé en Colombie, s’était rendu au poste-frontière de Paraguachon pour renouveler son visa de séjour arrivé à expiration. Il avait ensuite cessé de donner des nouvelles, hormis un message audio envoyé fin juillet dans lequel il appelait à l’aide. Selon ses proches et Amnesty International, il se trouvait alors entre les mains des autorités vénézuéliennes. Amnesty International avait publié mi-juillet un rapport évoquant des « disparitions forcées » visant des opposants ou des ressortissants étrangers depuis la réélection du président Nicolás Maduro. L’organisation estime que ces pratiques serviraient à alimenter des récits de « conspirations étrangères » ou à renforcer certains leviers dans les négociations diplomatiques. Une fois libéré, Camilo Castro a rejoint l’ambassade de France au Venezuela samedi en fin d’après-midi. Son beau-père, Yves Guibert, a décrit un homme heureux de sortir de détention, mais encore marqué par le stress de ces derniers mois, inquiet tant qu’il n’avait pas quitté le territoire vénézuélien.
Emmanuel Macron a indiqué que Camilo Castro était désormais libre, remerciant ceux qui ont contribué à cette issue et rappelant que l’action diplomatique française progresse souvent discrètement mais avec constance. Le président n’a pas apporté de précisions supplémentaires sur les conditions de détention de ce Français de 41 ans, arrêté après sa disparition le 26 juin. Sa mère, Hélène Boursier, militante d’Amnesty International, a confié auprès de plusieurs médias éprouver un soulagement difficile à décrire tant l’attente a été longue et marquée par l’incertitude.Elle dit vouloir continuer à défendre les personnes encore détenues ou portées disparues, rappelant que la libération de son fils ne met pas fin à son engagement. Une disparition survenue à la frontière Camilo Castro, professeur de yoga installé en Colombie, s’était rendu au poste-frontière de Paraguachon pour renouveler son visa de séjour arrivé à expiration. Il avait ensuite cessé de donner des nouvelles, hormis un message audio envoyé fin juillet dans lequel il appelait à l’aide. Selon ses proches et Amnesty International, il se trouvait alors entre les mains des autorités vénézuéliennes. Amnesty International avait publié mi-juillet un rapport évoquant des « disparitions forcées » visant des opposants ou des ressortissants étrangers depuis la réélection du président Nicolás Maduro. L’organisation estime que ces pratiques serviraient à alimenter des récits de « conspirations étrangères » ou à renforcer certains leviers dans les négociations diplomatiques. Une fois libéré, Camilo Castro a rejoint l’ambassade de France au Venezuela samedi en fin d’après-midi. Son beau-père, Yves Guibert, a décrit un homme heureux de sortir de détention, mais encore marqué par le stress de ces derniers mois, inquiet tant qu’il n’avait pas quitté le territoire vénézuélien.
Emmanuel Macron a indiqué que Camilo Castro était désormais libre, remerciant ceux qui ont contribué à cette issue et rappelant que l’action diplomatique française progresse souvent discrètement mais avec constance. Le président n’a pas apporté de précisions supplémentaires sur les conditions de détention de ce Français de 41 ans, arrêté après sa disparition le 26 juin. Sa mère, Hélène Boursier, militante d’Amnesty International, a confié auprès de plusieurs médias éprouver un soulagement difficile à décrire tant l’attente a été longue et marquée par l’incertitude.Elle dit vouloir continuer à défendre les personnes encore détenues ou portées disparues, rappelant que la libération de son fils ne met pas fin à son engagement. Une disparition survenue à la frontière Camilo Castro, professeur de yoga installé en Colombie, s’était rendu au poste-frontière de Paraguachon pour renouveler son visa de séjour arrivé à expiration. Il avait ensuite cessé de donner des nouvelles, hormis un message audio envoyé fin juillet dans lequel il appelait à l’aide. Selon ses proches et Amnesty International, il se trouvait alors entre les mains des autorités vénézuéliennes. Amnesty International avait publié mi-juillet un rapport évoquant des « disparitions forcées » visant des opposants ou des ressortissants étrangers depuis la réélection du président Nicolás Maduro. L’organisation estime que ces pratiques serviraient à alimenter des récits de « conspirations étrangères » ou à renforcer certains leviers dans les négociations diplomatiques. Une fois libéré, Camilo Castro a rejoint l’ambassade de France au Venezuela samedi en fin d’après-midi. Son beau-père, Yves Guibert, a décrit un homme heureux de sortir de détention, mais encore marqué par le stress de ces derniers mois, inquiet tant qu’il n’avait pas quitté le territoire vénézuélien.
