Née le 28 septembre 1934 à Paris, Brigitte Anne-Marie Bardot s’impose très tôt comme l’un des visages les plus identifiables du cinéma français. Sa carrière prend une dimension internationale en 1956 avec Et Dieu… créa la femme, film réalisé par Roger Vadim. Ce succès marque un tournant. Il installe Brigitte Bardot dans un paysage cinématographique en pleine mutation, où son jeu, sa présence à l’écran et les rôles qu’elle incarne contribuent à renouveler les représentations féminines de l’époque. Au fil des années, l’actrice enchaîne les films et collabore avec plusieurs réalisateurs majeurs. Ses interprétations rencontrent un large public et participent au rayonnement du cinéma français à l’international. Figure admirée, elle devient aussi un personnage public scruté, parfois contesté, en raison de certaines prises de position qui alimentent débats et controverses. Au début des années 1970, Brigitte Bardot fait le choix de quitter définitivement le cinéma. La protection animale au cœur de son engagement En 1986, Brigitte Bardot fonde la Fondation qui porte son nom. L’organisation s’engage dans la lutte contre la maltraitance animale, le trafic et l’exploitation des animaux, en France comme à l’étranger. Cet engagement devient central dans sa vie publique et redéfinit son image auprès d’une partie de l’opinion. Pendant plusieurs décennies, cette cause occupe une place dominante dans son action et structure l’essentiel de ses prises de parole.
Née le 28 septembre 1934 à Paris, Brigitte Anne-Marie Bardot s’impose très tôt comme l’un des visages les plus identifiables du cinéma français. Sa carrière prend une dimension internationale en 1956 avec Et Dieu… créa la femme, film réalisé par Roger Vadim. Ce succès marque un tournant. Il installe Brigitte Bardot dans un paysage cinématographique en pleine mutation, où son jeu, sa présence à l’écran et les rôles qu’elle incarne contribuent à renouveler les représentations féminines de l’époque. Au fil des années, l’actrice enchaîne les films et collabore avec plusieurs réalisateurs majeurs. Ses interprétations rencontrent un large public et participent au rayonnement du cinéma français à l’international. Figure admirée, elle devient aussi un personnage public scruté, parfois contesté, en raison de certaines prises de position qui alimentent débats et controverses. Au début des années 1970, Brigitte Bardot fait le choix de quitter définitivement le cinéma. La protection animale au cœur de son engagement En 1986, Brigitte Bardot fonde la Fondation qui porte son nom. L’organisation s’engage dans la lutte contre la maltraitance animale, le trafic et l’exploitation des animaux, en France comme à l’étranger. Cet engagement devient central dans sa vie publique et redéfinit son image auprès d’une partie de l’opinion. Pendant plusieurs décennies, cette cause occupe une place dominante dans son action et structure l’essentiel de ses prises de parole.
Née le 28 septembre 1934 à Paris, Brigitte Anne-Marie Bardot s’impose très tôt comme l’un des visages les plus identifiables du cinéma français. Sa carrière prend une dimension internationale en 1956 avec Et Dieu… créa la femme, film réalisé par Roger Vadim. Ce succès marque un tournant. Il installe Brigitte Bardot dans un paysage cinématographique en pleine mutation, où son jeu, sa présence à l’écran et les rôles qu’elle incarne contribuent à renouveler les représentations féminines de l’époque. Au fil des années, l’actrice enchaîne les films et collabore avec plusieurs réalisateurs majeurs. Ses interprétations rencontrent un large public et participent au rayonnement du cinéma français à l’international. Figure admirée, elle devient aussi un personnage public scruté, parfois contesté, en raison de certaines prises de position qui alimentent débats et controverses. Au début des années 1970, Brigitte Bardot fait le choix de quitter définitivement le cinéma. La protection animale au cœur de son engagement En 1986, Brigitte Bardot fonde la Fondation qui porte son nom. L’organisation s’engage dans la lutte contre la maltraitance animale, le trafic et l’exploitation des animaux, en France comme à l’étranger. Cet engagement devient central dans sa vie publique et redéfinit son image auprès d’une partie de l’opinion. Pendant plusieurs décennies, cette cause occupe une place dominante dans son action et structure l’essentiel de ses prises de parole.