L’attaque au couteau qui a fait cinq blessés mardi dans le centre de Marseille a conduit à l’identification d’un homme de 35 ans, Abdelkader Dibi, de nationalité tunisienne et en situation régulière en France. Selon le procureur de la République, Nicolas Bessone, l’individu, connu pour des antécédents de violence et des addictions à l’alcool et à la cocaïne, « n’apparaissait pas radicalisé mais souffrant de troubles psychiatriques », conclusion tirée après une enquête ouverte en juin à la suite d’un incident survenu dans une mosquée de Sète, au cours duquel il avait tenu des propos à caractère antisémite. À noter que l’abus de drogues ou hypnotiques en tout genre concerne de très nombreuses personnes atteintes de troubles psychiques, comme le rapporte la FRC (Fondation pour la recherche sur le cerveau). Trois victimes avaient été touchées directement au couteau, dont son ancien colocataire dans un hôtel d’où il avait été expulsé pour défaut de paiement. Ce dernier, grièvement atteint au cœur, a pu être pris en charge et son pronostic vital n’est plus engagé. Les autres blessés, eux aussi hospitalisés, sont aujourd’hui hors de danger. Déjà condamné en 2023 Déjà condamné à La Rochelle en 2023 pour violences avec arme contre un membre de sa famille, Abdelkader Dibi avait également été placé en garde à vue fin juin après l’incident à la mosquée de Sète, affaire pour laquelle il devait comparaître prochainement. Le criblage réalisé à cette occasion n’avait pas révélé de signes de radicalisation mais des troubles psychiatriques avérés. Concernant l’intervention policière, le procureur a souligné que « la légitime défense est très fortement envisagée au regard des éléments objectifs », rappelant que l’homme, armé de deux couteaux, avait menacé directement l’équipage de quatre policiers dans une rue passante du centre-ville. Six douilles ont été retrouvées sur place et l’assaillant a été atteint par cinq projectiles.
L’attaque au couteau qui a fait cinq blessés mardi dans le centre de Marseille a conduit à l’identification d’un homme de 35 ans, Abdelkader Dibi, de nationalité tunisienne et en situation régulière en France. Selon le procureur de la République, Nicolas Bessone, l’individu, connu pour des antécédents de violence et des addictions à l’alcool et à la cocaïne, « n’apparaissait pas radicalisé mais souffrant de troubles psychiatriques », conclusion tirée après une enquête ouverte en juin à la suite d’un incident survenu dans une mosquée de Sète, au cours duquel il avait tenu des propos à caractère antisémite. À noter que l’abus de drogues ou hypnotiques en tout genre concerne de très nombreuses personnes atteintes de troubles psychiques, comme le rapporte la FRC (Fondation pour la recherche sur le cerveau). Trois victimes avaient été touchées directement au couteau, dont son ancien colocataire dans un hôtel d’où il avait été expulsé pour défaut de paiement. Ce dernier, grièvement atteint au cœur, a pu être pris en charge et son pronostic vital n’est plus engagé. Les autres blessés, eux aussi hospitalisés, sont aujourd’hui hors de danger. Déjà condamné en 2023 Déjà condamné à La Rochelle en 2023 pour violences avec arme contre un membre de sa famille, Abdelkader Dibi avait également été placé en garde à vue fin juin après l’incident à la mosquée de Sète, affaire pour laquelle il devait comparaître prochainement. Le criblage réalisé à cette occasion n’avait pas révélé de signes de radicalisation mais des troubles psychiatriques avérés. Concernant l’intervention policière, le procureur a souligné que « la légitime défense est très fortement envisagée au regard des éléments objectifs », rappelant que l’homme, armé de deux couteaux, avait menacé directement l’équipage de quatre policiers dans une rue passante du centre-ville. Six douilles ont été retrouvées sur place et l’assaillant a été atteint par cinq projectiles.
L’attaque au couteau qui a fait cinq blessés mardi dans le centre de Marseille a conduit à l’identification d’un homme de 35 ans, Abdelkader Dibi, de nationalité tunisienne et en situation régulière en France. Selon le procureur de la République, Nicolas Bessone, l’individu, connu pour des antécédents de violence et des addictions à l’alcool et à la cocaïne, « n’apparaissait pas radicalisé mais souffrant de troubles psychiatriques », conclusion tirée après une enquête ouverte en juin à la suite d’un incident survenu dans une mosquée de Sète, au cours duquel il avait tenu des propos à caractère antisémite. À noter que l’abus de drogues ou hypnotiques en tout genre concerne de très nombreuses personnes atteintes de troubles psychiques, comme le rapporte la FRC (Fondation pour la recherche sur le cerveau). Trois victimes avaient été touchées directement au couteau, dont son ancien colocataire dans un hôtel d’où il avait été expulsé pour défaut de paiement. Ce dernier, grièvement atteint au cœur, a pu être pris en charge et son pronostic vital n’est plus engagé. Les autres blessés, eux aussi hospitalisés, sont aujourd’hui hors de danger. Déjà condamné en 2023 Déjà condamné à La Rochelle en 2023 pour violences avec arme contre un membre de sa famille, Abdelkader Dibi avait également été placé en garde à vue fin juin après l’incident à la mosquée de Sète, affaire pour laquelle il devait comparaître prochainement. Le criblage réalisé à cette occasion n’avait pas révélé de signes de radicalisation mais des troubles psychiatriques avérés. Concernant l’intervention policière, le procureur a souligné que « la légitime défense est très fortement envisagée au regard des éléments objectifs », rappelant que l’homme, armé de deux couteaux, avait menacé directement l’équipage de quatre policiers dans une rue passante du centre-ville. Six douilles ont été retrouvées sur place et l’assaillant a été atteint par cinq projectiles.
